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lundi 16 février 2015

Du travail qui manque



Le plein emploi dans la société n’y est plus et le chômage est devenu un fardeau. Beaucoup de mesures pour résoudre le problème sont discutés. Mais sont-ils vraiment efficace ?  

Près de 1 personne sur 4 dans les âges de 15 à 24 ans sont au chômage en Suède. Ce fait a incité certaines débatteurs à parler d'une « génération perdue » et qu’un moyen de résoudre ce problème serait d'augmenter le nombre de départs à la retraite.

Il est évidemment clair que des postes de travail manquent mais dans cette proposition il y a deux idées fausses.

Le premier est que tous les étudiantes qui cherchent un travail d’été par Pôle Emploi sont enregistrées comme des chômeurs et cela même si ils en ont eu. C’est un souci statistique qui probablement soit possible à corriger. Mais, dans ce cas il deviendrait difficile de comparer le chômage d’une année à l’autre. D’autres chiffres montrent plutôt que la grande majorité des jeunes maitrisent bien la transition entre leur éducation et une vie active.

Le deuxième problème avec la proposition est l’idée que la quantité de travail dans une société est plus ou moins constante. En fait, la quantité de travail disponible pour la population active - la proportion de gens qui sont prêts et capables de travailler est toujours en augmentation. Du travaille génère simplement du travail. Les 35 heures en France a certainement eu plusieurs effets positives mais l’argument que ils éradiqueraient le chômage n’a pas été réalisé.

Le professeur d’économie national, Anders Forslund, a examiné et rapporté la recherche actuelle du domaine d’emploi.

Durant les années 1970 et 80, il y’a eu une forte augmentation du nombre de femmes dans la vie professionnelle. Il a été le changement plus important et le plus rapide qui a eu lieu en 50 ans. Cependant, le chômage n'a pas augmenté.

Non plus est le chômage affecté par plus d'immigration. Il existe plusieurs exemples où un pays ou une région a reçu un afflux massif d'immigrants, sans aucun effet sur le niveau du chômage et les salaires.

Le coût totale de la société pour soutenir une jeune jusqu’au fin de lysée, incluant la maternelle les écoles, les allocations et cetera, est en Suède environ 250 000 euros. Un immigrant qui arrive sans cette charge est naturellement très avantageux pour une société, ce qui considérablement stimule l’activité économique.

Un peu près le même argument est valable des personnes âgés. Ils ont repayé ces charges et de les laisser travailler quelques années de plus est du pur profit pour la société.

Lorsque la crise financière a frappé en 2007-08, le chômage a augmenté et il est encore plus élevé qu'auparavant. Mais, en même temps, les postes de travail ont augmenté.

En fait, le chômage chez les jeunes affecte principalement ceux qui ont quitté l’école sans diplômes ou diplômes non-complets. Pour lutter contre le chômage des jeunes c’est donc dans cette problématique qu’il faut concentrer les efforts.

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