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lundi 16 septembre 2019

Notre concentration est plus troublée par un monologue que par sept babilleurs


De plus en plus de personnes travaillent aujourd'hui dans des bureaux ouverts. La recherche sur la productivité dans de cet environnement n’a pas fourni des réponses absolus. Elle montre des effets positifs comme négatifs et cela en fonction du secteur, de l'organisation et le type de travaille.

Une étude publiée dans la revue Applied Cognitive Psychology montre maintenant qu’il n’est pas possible à considérer tous discours de fond de la même manière. Du moins ne pas quand il s’agit d'un travail si quotidien dans des nombreuses professions que d’écrire.

Que cela vous plaise ou non, le cerveau est entre autre fait pour traite des discours compréhensibles.

Dans le cadre de cette étude, des chercheurs laissaient 52 personnes, 5 minutes à la fois, écrire de petites histoires basées sur différents mots-clés. Au fur et à mesure qu'ils écrivaient, des extraits de livres audio étaient lus dans un haut-parleur, d'une seule voix ou de sept voix à la fois.

Le nombre de caractères écrits et supprimés par les sujets était mesuré et aussi les pauses de « réflexions ». L’étude a montré que ceux qui avaient entendu une seul voix écrivaient moins et faisaient plus de pauses.

Les voix étaient aussi passés devant et derrière les participants. Le plus dérangeant selon les participants était une voix venant de l'avant. Cela est cohérent avec l’hypothèse que des dérangements qui viennent de la direction focalisé sont plus perturbants. Cependant, la position de la source des voix n'avait aucun effet sur leurs performances.

Les sujets prenaient moins de pauses lorsque la salle était complètement silencieuse et dans cette situation ils éprouvaient la tâche comme  moins dure.

Malgré que le silence entraînait moins de pauses, il ne aboutait pas aux plus important nombre de caractères. Les chercheurs pensent, que les participants  déployaient plus d’efforts à la tache quand ils entendaient des voix. Ce comportement est un moyen à bloquer des éléments perturbateurs, ce qui est soutenu par d'autres recherches.

La faiblesse de l’étude est qu’elle n’a pas duré longtemps. Il n’est pas sûr que les réactions suivant 5 min de perturbations sont les même que les réactions en long terme.

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