La société de sécurité
informatique Bitdefender a étudié comment l'une des principales ligues mène ses attaques contre banques.
Le braqueur de banque
typique n'est plus un type brutal avec un pistolet mais un informaticien bien
formé dans un pays de l'ex-Union soviétique. Alors que des braquages physiques
sont de plus en plus rares, les malfaiteurs se concentrent maintenant sur
opérations d’Internet. Plusieurs tentatives de piratage des réseaux
informatiques de banques suédoises sont selon la police lancées chaque mois.
Les banques ont peu à peu
amélioré leurs systèmes de protection contre ces attaques et ces dernières
années il est devenu rare que les ligues réussissent. Cependant, les banques
doivent constamment être alertes contre ce type la cybercriminalité et les
possibilités d'arrêter les coupables sont faibles. La cause principale est que
beaucoup de ces ligues opèrent à partir des pays de l'ex-Union soviétique. Même
si la police un peu prêt connais les malfaiteurs, il y n’a pas d’accord
d’échange d’information pour plus précisément pouvoir enquêter.
La société de sécurité
informatique roumaine Bitdefender, qui coopère avec plusieurs banques
européennes, a pu étudier comment l'une des plus grandes ligues, Carbanak, mène
ses attaques. Le travail préliminaire est généralement fait à travers une
enquête minutieuse auprès les détenteurs des plus importants permissions sur le
réseau interne des banques.
Cette ligue consacre
beaucoup de temps à la recherche sur les médias sociaux. Le but est à
comprendre qui fait quoi à la banque. Ensuite ils les attaquent Les
réceptionnistes reçoivent des courriels avec des menus de restaurants joint infectés,
les techniciens informatiques sont ciblés avec des fautes rapports de fournisseurs
de logiciels antivirus et les directeurs sont trompés par des documents joints
qui semblent provenir de collaborateurs.
Si quelqu'un se laisse
tromper le travail à collecter un maximum de données sur le fonctionnement du
réseau commence. Il est principalement fait les soirs et les week-ends afin de
ne pas être détectée par les techniciens de la banque. L'objectif est d'accéder
au compte administrateur principale, celui qui dispose de tous les pouvoirs.
A ce stade les hackers ont
deux options:
Soit ils entrent dans le
réseau protégé auquel les distributeurs automatiques sont connectés pour les
forcer à cracher de l’argent à un moment donné, généralement au milieu de la
nuit et récupéré par un confrère criminel qui rapidement disparaisse.
L’autre option consiste à
transférer l’argent à des gardiens de but par intérim, souvent à l’aide
d’offres d’emplois légitimes et où la personne innocent aura un appelle de la
police lorsque la somme a été détournée.
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