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lundi 31 octobre 2016

Comment savoir si la voiture autonome s’arrête ?



Les constructeurs automobiles du monde et des acteurs tels que Google sont en lice pour être le premier à mettre des véhicules autonomes sur les rues. Pourtant, les piétons ne sont pas très enthousiastes. Dans une enquête tant que 47% répondent qu’ils ne font pas confiance à cette technologie. Il y a donc un important besoin de créer une norme commune pour la communication entre les voitures autonomes et les piétons.

La sécurité de la circulation dans des villes dépend de l'interaction entre les conducteurs des voitures et les piétons. Pour traverser une rue sans risque, 8 personnes sur 10 cherchent actuellement un contact visuel avec les conducteurs. Que se passerait-il quand il n'y aura plus de conducteurs ? Si les personnes dans les voitures font n’importe quoi sauf que regarder la rue ?

Des voitures autonomes n’est plus de la science-fiction. Beaucoup de testes réelles sont planifiés les prochaines années et en 2020 il a été pré-visionné  qu’ils seront 10 millions. Ce qui se passe est en train de fondamentalement changer le rôle des voitures dans la société. C’est-à-dire comment nous possédons, voyageons et interagirons avec des voitures, en tant que « conducteurs », piétons et d’autres usagers de rues.
 
Il y a des grandes opportunités avec des voitures d'autonomes. Ils sont susceptibles d'être plus sûr, prendre des meilleures décisions et de commettre moins d'erreurs. Mais, pour que cette technologie devienne une réalité, ces voitures doivent être en mesure d'interagir d'une manière rassurante avec leurs environnements et en particulier avec les usagers de rues vulnérables. Dans une enquête près de 1 personne sur 2 exprime qu’elle n’a pas confiance qu’une voiture autonome lui apercevra et s’arrêtera.

Actuellement il  n’y a pas des règles communes sur la façon dont les voitures autonome doivent communiquer avec piétons et cyclistes. C’est grave parce que sans conducteur il est très difficile à comprendre les intentions d’une voiture. Depuis 100 ans, les conducteurs communiquent avec leur environnement par contacts visuelles, regards, gestes avec les mains ou  hochements de la tête. Lorsqu’il ne sera plus possible il faut innover d’autres moyennes d’interactions.

Pour être compréhensibles cela exige qu’ils soient indépendants de la marque de voiture, de la langue parlé et la culture. En défie de règlement commune les fabricants sont en train de développer leurs propres systèmes. Cette façon indépendante de régler le problème coûte cher et le résultat sera moins sûr qu’un effort commun.

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