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vendredi 31 juillet 2020

Le robot chien Spot patrouille dans le parc et exhorte les gens à garder distances


Un chien robot de Boston Dynamics a eu la mission à patrouiller le parc Bishan-Ang Mo Kio à Singapour.

Vous allez vous promener dans un parc où vous rencontrez des gens. La plupart ont des masques qui donnent une ambiance un peu menaçante.

Ensuite, vous découvriez le robot chien Spot qui en pas distincts patrouille dans le parc. Sa tâche est de rappeler aux gens à garder distances. Notre époque est étrange pour beaucoup mais une bonne opportunité à faire progresser la technologie pour d’autres. Le tout se passe dans le parc Bishan-Ang Mo Kio à Singapour.

Pour une période d'essai de 2 semaines depuis le 8 mai, les autorités utilisaient Spot qui grâce à des messages préenregistrés rappelle les visiteurs de se tenir à distance pendant la pandémie.  

Spot est équipé de caméras qui donnent une estimation sur le nombre de personnes visitant. Il est télécommandé mais et dispose aussi des capteurs intégrés pour éviter des collisions. La raison de le tester pour cette mission est de réduire le besoin de personnels qui normalement font ce type de tâches écrit le
journal local The Straits Times.

Comme montre le vidéo l‘apparence de Spot semble avoir créé plus de efférences que d’assurances. Le journaliste Glenn Greenwald, a sur Twitter écrit que c'était la chose le plus effrayante et le plus dystocique qu’il a vu depuis le début de la pandémie.

jeudi 30 juillet 2020

La date de la « plus belle peinture du monde » relevé par des astronomes


Le peintre néerlandais Johannes Vermeer a vécu et travaillé dans la ville de Delft de 1632 à 1675. Les 30ene de tableaux conservés montrent principalement des situations du quotidien. Certains d'entre eux sont des vues de la ville, tandis que d'autres représentent des motifs religieux. Vermeer est peut-être le mieux connue pour le tableau La Jeune Fille à la perle.


Par contre, le Vue de Delft est par Marcel Proust a appelle le plus beau tableau de monde. Il est l'un des premiers paysages urbains du genre. Parce que relativement peu de choses est connu sur la vie de Vermeer, on ne sait pas exactement quand il a été peint.
En étudiant la formation d'ombre sur l'un des bâtiments du tableau un groupe d'astronomes réclame maintenant avoir perçu le mystère. Le professeur d'astronomie Donald Olson à la Texas State University aux États-Unis et ses collègues ont si soigneusement étudié le tableau qu'ils non seulement ont parvenu à révéler une année mais aussi le mois le jour et même l’heure.

Ils ont arrivé à cette précision en visitant Delft actuel dans l'ouest des Pays-Bas, en comparant des observations détaillées à partir de Google Earth et en étudiant la manière particulière dont la lumière tombe sur le tour de la cloche dans le centre du tableau. La date, si finement déterminé, est donné par la position du soleil.

Assistés par de simulations informatiques, les astronomes ont pu calculer le temps en fonction de la position du soleil qui donne le emplacement précise de l'ombre sur la peinture. Alors, 2 dates possibles émergeaient, une en avril et une en septembre. De plus, il est connu que les cloches dans la tour ont été installées en 1660 et elles manquent dans le tableau. C’est pourquoi les astronomes sont sur que l’année est de 1659 ou avant.      

Parce que le tableau montre des arbres avec feuilles entièrement développés, la date d’avril a été éliminée en faveur de septembre, plus précisément à 8 heures du matin le 3 septembre 1659.

A cette date Vermeer aurait vécu dans une auberge avec vue sur Delft et peint son chef-d'œuvre.
        
Source : PHYS ORG

mercredi 29 juillet 2020

Les jeunes guides font mieux que les âgés


Des chercheurs de l'Université d'État de Caroline du Nord et de l'Université d'Exeter au Royaume-Uni ont révélé que des jeunes guides ont un effet globalement positif sur l'expérience des visiteurs dans des muséums et sites d'apprentissage informels. Les effets positifs étaient observés dans tous les groupes d'âge mais plus apparents chez les enfants âgés de 9 à 11 ans.

Les sites d'apprentissage informels, tels que les musées, zoos et aquariums, proposent souvent des programmes destinés aux adolescents. Ces programmes sont fait pour acquérir des compétences sociales et de renforcer l’intérêt de sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STIM en français ?). Bénéficient vraiment les jeunes de ces visites guidés ?

Les chercheurs examinaient 5 sites d'apprentissage informel aux États-Unis et au Royaume-Uni. Ils comprenaient un zoo, un aquarium, un musée pour enfants, un musée sur le thème de la technologie et un centre scientifique sur le thème de la santé.

Le nombre de participants était plus de 2 100,  (979 enfants et adolescents et 1 184 adultes), qui soit exploraient l'exposition par eux-mêmes, soit avec un guide, adulte ou jeune. Les questions du sondage portaient sur l'intérêt du sujet, l'apprentissage perçu et le rappel informatif du contenu de l'exposition.

Alors que tous les groupes exprimaient un plus grand intérêt lorsqu'ils avaient interagissent avec un guide de tout âge, leur engagement et leurs niveaux d'intérêt étaient plus élevés lorsque les guides étaient jeune et le plus grand impact était sur les enfants entre 9 et 11 ans.

L’explication pourrait être qu'un guide adolescent n'est pas trop éloigné des enfants en âge, qu’il peut présenter le sujet au bon niveau, que les enfants l’admirent et qu’ils bientôt peuvent se voir comme lui. Peut-être que les enfants voient un guide plus âgé comme juste un autre enseignant.

En outre, les chercheurs constataient que les visiteurs adultes aussi trouvaient les visites avec un guide jeune plus intéressant. Dans ce cas c’est peut-être le « facteur de charme » qui est important. Les adultes aiment bien des jeunes qui s’investissent pour aider les enfants à réussir.

Source : PHYS ORG