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vendredi 31 octobre 2014

Silicon Valley, mais ne pas seulement



La Silicon Valley est une source d’inspiration pour ceux qui sont engagé dans l’informatique, mais d’autre lieux ne sont pas si dépassés. C’est que révèle de la statistique sur des entreprises informatiques qui actuellement sont évalués à plus d’un milliard dollar.

La majorité de ces 136 entreprises, 61%, a effectivement été créée à l'extérieur de la Silicon Valley et 25% entre eux ont leurs origines en Europe. La Silicon Valley est toujours le lieu le plus important pour ces géantes, mais elle est loin d'être le seul.

Derrière les États-Unis, la Chine est numéro deux sur la liste avec 26 entreprises et étonnement la Suède est le numéro trois avec 5 sociétés : Skype, Klarna, Spotify, King.com et Mojang. En fait, Stockholm est la deuxième plaque tournante de la technologie la plus productive avec 5 entreprises par millions habitants après la Silicon Valley, qui a 6,3.

La vitesse à laquelle les entreprises partout dans le monde attendent la barre d’un milliard dollar augmente aussi. Deux tiers des entreprises ont atteint cette étape importante au cours des derniers 24 mois et 46 entreprises depuis Janvier cette année.

Bien que les Etats-Unis, l’Asie et l’Europe continuent de dominer, il est seulement une question de temps avant que les autres continents seront sur la liste. Beaucoup d’efforts sont fait en Amérique latine et en Afrique. En Brésil il y a par exemple près de 3000 start-ups et leur marché d'e-commerce est prévu devenir le quatrième plus important du monde en 2016.

La position de la France n’est pas mentionnée dans la source dont j’ai accès. Par une autre étude, Analyse Comparative des Clusters Logiciel dans L’UE, il est néanmoins clair que la situation n’est pas si bonne.

On se demande naturellement pourquoi ? Une explication serait que les entrepreneurs ont besoin d’un écosystème composé de talents, capital et figures modèles pour prospérer.

Beaucoup de politiciens en France sont évidemment bien informé et s’intéressent au problème. Pourquoi ne sont-ils pas capable de créer un environnement qui incite plus d’activités commerciales dans ce domaine ?  Mon hypothèse personnelle est qu’ils n’ont pas compris qu’il ne s’agit pas seulement d’approvisionner des postes budgétaires mais de fortifier la culture technologique du pays.

jeudi 30 octobre 2014

Nous ne sont pas si rationnelles



Le prix et la qualité devraient être les facteurs les plus importants quand nous prenons une décision d’achat. Malheureusement il n’est pas le cas et cela a maintenant été montré par une équipe de chercheurs de Lund, Suède.

Dans la recherche économique il a pendant longtemps été supposé que nous faisons des décisions rationnelles. Cependant, cette étude rend clair que quand il s’agit d’achat de produit alimentaires nous sommes loin de cette idéale.  

Au lieu nous prenons nos décisions basés sur les images des marques que nous avons dans nos têtes et les sentiments qu’elles réveillent. Même si nous n’avons pas remarqué aucune différence entre un produit de coût bas et le plus cher, nous avons la tendance à choisir le plus cher, s’il serait considéré comme gênant en cas où une connaissance découvrirait des produits de bas coûts dans le réfrigérateur.

Pour identifier les facteurs qui vraiment sont important pour nos décisions d’achats les chercheurs ont développé une nouvelle méthode basée sur les théories du lauréat de prix Nobel, Daniel Kahneman, sur nos prises de décisions.

Au lieu de raconter leurs habitudes d'achat, les participants étaient invités de décrire leurs associations de divers produits. Puis, ces données étaient comparées avec leurs habitudes de dépenses.

Il s’est avéré que des facteurs tels que statut, identité suédoise et le sentiment que le produit est unique, sont beaucoup plus fortes par rapport aux autres facteurs.

Un autre résultat est qu’une fois que nous avons eu une image positive d’une marque, il peut traîner longtemps. Dans ce contexte longtemps peut être 20 à 30 ans et cela même si la qualité n’est plus la même.

mercredi 29 octobre 2014

La théorie des files d’attentes



Il y a longtemps que j’ai étudié ce sujet. En bref, il s’agit de mathématiquement optimiser combien et comment organiser les files d’attente dans tout genre de situations. Car, une file d’attente est toujours associé avec un coût d’un service mais si le temps d’attente devient trop important on perd des clients dans les cas d’un commerce, ou production dans le cas de fabrication.

Dans certaines situations il vaut mieux organiser un ou plusieurs files d’attente prioritaires. C’est par exemple le cas dans un commutateur où tous les numéros d’alarme ont la priorité. Il est évident que le traitement mathématique du problème est assez compliqué.

Cependant, tout le monde qui fait ces achats dans une grande surface a besoin de savoir un peu sur la théorie des files d’attentes. Personne n’aime attendre, et quand une autre file que la choisi avancer plus vite, il arrive que l’irritation gagne sur la bonne humeur. Il vaut mieux savoir le fondamentale sur l’art de faire le bon choix de file d’attente.

Par fois il y a une caisse ouvert pour ceux qui on peut d’articles, la caisse rapide. On pourrait penser que ce file d’attente avancerait plus vite que les autre, mais c’est faux. Car, la vitesse du service dépende fortement du nombre de personnes attendant et beaucoup moins du nombre d’articles dans les paniers. Donc, s’il y a des files d’attentes plus courtes ailleurs, évitez la caisse rapide.

Pour estimer le temps d’attente il faut compter 48 secondes par personne et 2,8 secondes pour chaque article. Logiquement une personne avance le temps d’attente tant que 17 articles.

Puis, il y a des caisses avec la table soit à gauche soit à droit. La meilleur stratégie et de choisir la gauche où les files d’attente généralement sont plus courtes. Majoritairement droitière, c’est un choix que nous faisons inconsciemment.

Le numéro de la caisse peut aussi avoir une importance. Certains clients évitent le numéro 13, qui est sensé d’apporter du malheur.