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dimanche 31 janvier 2021

Les pédomètres augmentent le nombre de pas par jour

 

Ceux qui utilisent une application d'exercice dans leurs portables marchent en moyenne 1 850 plus de pas par jour.  C’est que montre une vaste étude d’Australie.


Pendant un duré variable de 2 à 40 semaines, un peu plus de 7000 personnes en bonne santé, âgées de 18 à 65 ans, participaient. La moite utilisait une application d’exercice et l’autre était un groupe de control.

 

L'enquête montre que les applications d'exercice en moyenne augmentaient le nombre de pas par jour de 1 850, correspondant à 1,4 km. Le résultat indique aussi que les applications avec une fonctionnalité de rappel étaient particulièrement efficaces.

 

Les études dont les participants sont randomisés entre un groupe de traitement et un groupe de control sont appelées randomisées. C’est une conception considérée comme ayant un niveau scientifique élevé. Néanmoins un problème avec cette étude pourrait être que les femmes ne représentaient que 28% des participants, ce qui rend les résultats plus difficiles à généraliser aux femmes en général.

 

Source : Sports Medecine

samedi 30 janvier 2021

Aluminium est nécessaire pour le théier

 

Sur les plus d'une centaine d'éléments dans le système périodique, il a été démontré que 15 à 20 sont nécessaires pour les plantes. Les plus importantes sont appelée macronutriments : Azote N, phosphore P, potassium K, soufre S, magnésium Mg et calcium Ca. L'hydrogène H, oxygène O et carbone, C, sont aussi parmi les macronutriments mais les plantes les absorbent en formes gazeuse par l'air ou par l'eau.

D'autres substances sont nécessaires en petites quantités. Ils sont des micronutriments ou oligo-éléments. Il s'agit notamment de : Manganèse Mn, zinc Zn, molybdène Mo, cuivre Cu, bore  B, fer Fe, chlore Cl et nickel Ni.

Il y a aussi des substances qui ne sont pas nécessaires  mais qui peuvent stimuler la croissance. Ceux-ci incluent : Sodium Na, silicium Si, sélénium Se et aluminium Al. Le cobalt, Co, est un cas particulier, il est nécessaire pour les bactéries fixatrices d'azote et donc aussi pour les légumineuses qui vivent en symbiose avec ces bactéries absorbeur d'azote.

Sur une plantation de 100 m2, les plantes ont besoin de kilos de macronutriments mais seulement de quelques milligrammes d'oligo-éléments. La plupart de ces éléments sont normalement suffisamment présentes dans la terre et c’est pourquoi l’engrais typique est le NPK.

 

On sait depuis longtemps que le théier accumule l'élément métallique le plus courant de la Terre, l'aluminium Al. Il a aussi été discuté si la teneur en aluminium des feuilles causerait des problèmes de santé. On sait aussi que la croissance des racines de théier est stimulée par le chlorure d'aluminium. Cependant, des chercheurs ont maintenant aussi montré que le besoin d’aluminium est absolu. En absence le théier mort.

 

Source : JIPB

vendredi 29 janvier 2021

De loups à chiens, une nouvelle hypothèse de chercheurs finnois

 

En nourrissant des loups de la viande pendant les hivers froids plus de graisse a restait pour les humains de l'âge glaciaire. Des chercheurs finlandais présentent une nouvelle théorie sur les origines du chien.


L'homme est une omnivore typique. Nous ne pouvons pas seulement vivre de viande parce que nous avons aussi besoin de graisses et de glucides pour couvrir nos besoins énergétiques. Le loup, par contre, est un carnivore distinct qui peut se nourrir de viande pendant des mois. Selon une nouvelle théorie des chercheurs finlandais, cette différence est à la base de la domestication des loups.

Les loups et les humains de la période glaciaire étaient des chasseurs de gros gibier et se disputaient le même gibier. Par conséquent, il est difficile à comprendre pourquoi nous ancêtres ont décidé d'apprivoiser des loups, elles devraient plutôt essayer de les éradiquer. L'hiver était une période difficile pour l'homme pendant l'ère glaciaire. Le régime était alors très pauvre en énergie car il n'y avait pas de plantes disponibles.


Il est donc probable que les gens nourrissaient leurs loups avec de la viande, la plus maigre part du gibier, et mangeaient eux-mêmes les morceaux les plus riches. Grâce à ce partage la concurrence pour la nourriture a diminué et la domestication du loup est devenue possible. C’est qu’affirment les chercheurs finlandais. Ils fondent leur hypothèse avec des calculs sur les apports caloriques qui étaient disponibles pour les loups et les humains en hiver à la fin de la dernière période glaciaire.

 

Il y a 2 hypothèses précédentes sur la domestication. La première est que le loup est devenu un type précoce de chien qui vivait de restes de nourriture. Selon la deuxième hypothèse le loup a été apprivoisé pour aider les hommes à chasser. Cependant, ces deux théories posent des problèmes.

 

Les chercheurs ne pensent pas que ces gens accepteraient que les loups mangent leurs restes. Il est aussi difficile d'imaginer que l'intention était de trouver un partenaire de chasse avant que les loups ne soient pas domestiques. Ils estiment qu'il n'y avait aucun avantage direct à apprivoiser les loups mais cela ne coûtait rien car il y avait de la nourriture pour les humains et les loups.

Les chasseurs-cueilleurs qui existent aujourd'hui aiment avoir des animaux de compagnie, cela fait partie de la nature humaine. Cependant, ces avantages sont venus après la domestication. Les chiens peuvent maintenant être utilisés de nombreuses manières, par exemple pour la chasse, comme chiens de garde et chiens de traîneau.

 

Source : Scientific reports

jeudi 28 janvier 2021

La machine qui remplit les nids-de-poule 4 fois plus vite

 

La machine Pothole Pro peut réparer un nid-de-poule en moins de 8 minutes. Elle remplace toute une équipe de travail et selon l’entreprise JCB à la moite du prix.

 

En peu partout dans le monde il y a des efforts pour développer des méthodes peu cher et plus durables pour réparer les nids-de-poule. En Californie le State University a par exemple, créé le matériau appelé GAP, (Grit Aassisted Patch), avec des particules de gravier issues de boues d'épuration comme un des ingrédients.

 

Le Pothole Pro est capable à remplir un nid-de-poule typique en moins de 8 minutes, ce qui est 4 fois plus rapide que les méthodes conventionnelles.

 

La plate-forme a une balayeuse avec un godet pour nettoyer le trou, et si nécessaire les bords peuvent être coupés avec un outil hydraulique. Ensuite, la fosse est remplie de matériau. Il se fait conventionnellement manuellement par une petite équipe mais selon JCB, le coût n’est que la moitié avec leur machine par le fait que tout peut être géré par un seul opérateur.

 

Selon JCB c’est une solution simple et  économique. Une fois qu'une machine a fait son travail, il suffit à poser du bitume.

 

Le véhicule a une vitesse de pointe de 40 km/h et en 15 min de travail, le Pothole Pro peut préparer une superficie de 250 m2, (15x15m). En 2020, la machine a été évaluée au Royaume-Uni et elle a montré un rythme qui correspondrait à 700 réparations par mois.

 

En Royaume-Uni il faut chaque année réparer un peu prés de 10 millions nids-de-poule.

 

Source : Autocar

mercredi 27 janvier 2021

Les permis environnementaux pour Northvolt sont maintenant complet


Le fabriquant de batteries Northvolt, qui est en train de construire leur fabrique dans la ville portuaire de Skellefteå dans le nord de la Suède, a finalement eu les permis nécessaires pour étendre la production à 40 GWh par an, ce qui un peu près correspond à batteries pour 800 000 voitures. Les permis incluent aussi la construction d’une unité d’recyclage.


Une production à grande échelle de 16 GWh commencera déjà à la fin de cette année. L'usine complète couvrira une superficie de 500 000 m2, (environ 70 plans de foot), et créera 10 000 emplois.

Le projet inclut beaucoup plus que la fabrique elle-même. Il y a tant de choses à régler tout autour : L'infrastructure, logements, écoles, logements… Jusqu'à présent la coopération avec la ville a bien fonctionné.

Quelques faits:

L'ambition de Northvolt est que 50% de toutes les matières premières proviendront de leur propre usine de recyclage d'ici à 10 ans.

Depuis 2017, l'entreprise a une collaboration avec l'Université de technologie Chalmers, Göteborg, pour développer une nouvelle technologie de recyclage. La méthode est chimique et permet surtout de retenir les métaux. La méthode a été montrée dans une installation démonstratrice au cours de l'automne 2020.

L'ambition est de construire une usine de recyclage à grande échelle à Skellefteå en 2022.

Plan d’expansion :

Pour gagner une part de marché importante en Europe il faut plus de capacité. Northvolt espère pouvoir établir plusieurs fabriques similaires à celle de Skellefteå, dans l'Europe. L'objectif est une capacité de 150 GWh d'ici 2030. 

mardi 26 janvier 2021

Un avion hybride testera ses trois ailes en 2022

 

Cet avion hybride de la startup britannique Faradair peut voler sur batteries pendant 15 minutes. Le fabriquant commencera des essais en vol dans quelques années.

 

La conception en composite de fibre de carbone pourra accueillir 18 passagers, soit trois conteneurs de fret.

 

Faradair explique qu'elle a commencé à concevoir l'avion le plus écologique du monde il y a 5 ans. Suivant plusieurs années d’efforts avec des simulations et des tests de modèles, elle estime que le modèle BEHA M1H peut être certifié pour le trafic en 2025.

 

Les carnets de commandes sont désormais ouverts. Les premiers prototypes seront prêts plus tard cette année et les essais en vol sont planifiés pour 2022.

BEHA signifie Bio-Electric-Hybrid-Aircraft. Les batteries alimentent les moteurs électriques utilisés lors du décollage et atterrissage, ce qui considérablement limite le bruit. Une fois en l'air, un turbopropulseur de 1 600 ch prend le relais, alimenté par de la carburante d’aviation ordinaire ou un biocarburant.

 

Le moteur turbopropulseur charge les batteries pendant le vol et elles sont aussi chargées par des panneaux solaires au-dessus des ailes.

 

La propulsion provient de 2 hélices contrarotatives imbriquées. La vitesse croisière est de 370 km/h. En cas d'urgence, l’avion est  capable à voler sur batterie pendant 15 minutes.

 

La conception d’ailes triplées, triple box-wing, fournit une force de levage qui permet de décoller et d'atterrir sur moins de 300 m.

 

Les sièges peuvent être évacués en 15 min. Le  BEHA peut alors fréter 3 conteneurs, (4,2 m cubes chacun), et un poids total de 5 tonnes.

Le niveau du son est un sujet sensible pour l'industrie aéronautique. L’enceinte des hélices est conçue pour le minimiser. Au décollage l'avion ne généra que 60 dBA, contre environ 140 dBA pour un jet classique.

Faradair espère que la combinaison de rapidement pouvoir convertir entre vols de passagers et vols de frets, un niveau de son bas et la possibilité de trafiquer des petits aéroports, ouvrira des nouveaux marchés.

 

Le prix de l'avion est estimé à 3,7 millions euro.

lundi 25 janvier 2021

Le Canada investit dans l'hydroélectricité à l'hydrogène

 

Une centrale d'électrolyse de 88 MW sera installée dans l'une des centrales hydroélectriques d'Hydro-Québec. La production débutera en 2023.

 

Environ les 65% de la production d'électricité au Canada proviennent de l'hydroélectricité. Le pays planifie maintenant à utiliser cette source d'énergie pour produire de l’hydrogène vert à grande échelle. Le Thyssenkrupp allemand a été embauché pour construire et exploiter la centrale.

 

L'usine d'électrolyse deviendra l'une des plus gros du monde avec une production annuelle de 11 100 tonnes d'hydrogène vert. Le prix de l’installation est un peu plus de 130 000 euro et la production commencera à la fin de 2023.

 

Les électrolyseurs de Thyssenkrupp sont les plus grands modules standard au monde et ils peuvent être assemblés pour atteindre une capacité de plusieurs MW, voire GW.

 

L'oxygène, un sous-produit de l’électrolyse, sera principalement utilisé localement dans une usine pour produire du biocarburant à partir de déchets.

 

Source : Thyssenkrupp

dimanche 24 janvier 2021

La nouvelle batterie qui se recharge complètement en 10 minutes

 

Les progrès dans les technologies vertes sont rapides. Paradoxalement c’est un souci pour les développeurs, car qui veut par exemple acheter une nouvelle voiture électrique quand il aura un modèle plus performant ou moins cher demain.

D
es chercheurs de l'American Penn State ont utilisé une technologie de chargement à haut température pour créer un nouveau type de batterie. L’innovation rend par exemple possible à recharger un Renault Zoe de 40 kWh en 10 minutes.

Selon l'équipe leur batterie est plus petite et plus légère que les batteries existantes et de plus elle est aussi moins chère à fabriquer. La batterie a une durée de vie de 3 000 chargements ou 8 ans si on charge quotidiennement.

Les chercheurs font valoir que cette batterie rendra le prix de voitures électrique comparable avec ce de voitures conventionnelles.

Au fond il s’agit d’une batterie
lithium-fer-phosphate, LFP, chauffé par une fine feuille de nickel. Quand le courant circule, la feuille se réchauffe et la température de la batterie atteinte 60 °C, ce qui est le niveau idéale pour le fonctionnement. Le échauffement réduit considérablement le problème de distribution inégale des ions lithium sur l'anode, un problème qui contribue à l'accumulation de petites pousses sur la surface et peut créer des court-circuités.

Cependant, de continuellement utiliser des températures aussi élevées que 60°C degrés réduirait rapidement la capacité.

Selon l'équipe, la méthode de chauffage signifie qu'ils peuvent utiliser des matériaux bon marché dans l'anode et la cathode

 

Source : Penn State News

samedi 23 janvier 2021

Les vidéoconférences sont des importants pollueurs

 

Une vidéoconférence de 1 heure peut générer 1 kg de CO2. Cependant, s’on éteint la camera il est possible de réduire les émissions de 96%.


On dit parfois avec dédain que nos activités en ligne consomment beaucoup d'énergie et donc génèrent des émissions de gaz à effet de serre importants mais on dit rarement que nous devrons avoir tant de honte que les voyageurs d’avions ou les conducteurs de grosses voitures.   

Même avant la pandémie, l'utilisation mondiale d'Internet représentait 3,7% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, ce qui est sur la même hauteur que les émissions de l'industrie aéronautique. Moyennement les internautes de la planète émettent, selon des études, 400 gr de CO2 par an et personne.

Des chercheurs du MIT, Purdue et Yale attirent maintenant l'attention aux sources d'émissions d’internet qui peuvent monter en flèche. Il s'agit de vidéoconférences et de streaming, deux domaines qui ont explosé pendant la pandémie.

 

Selon l'étude une vidéoconférence de 1 heure ou d’autres activités diffusés en continu peut générer 1 kg de CO2, consommer jusqu'à 12 litres d'eau et occupé une superficie correspondant à la taille d'un Ipad Mini.

Cependant, il existe un moyen simple à réduire les émissions d’une vidéoconférence de 96%, de éteindre le camera. Les utilisateurs fréquents de films en streaming peuvent réduire leurs émissions de 86% en passant de HD à la résolution standard.

L'étude a compté toutes les Go qui transmettent 18 plates-formes, dont Facebook, Youtube, Twitter, Zoom, Instagram et Tik Tok. La consommation d'électricité a ensuite été traduite en CO2, usage d'eau et superficie.

Selon les chercheurs, le trafic Internet d'un certain nombre de pays a augmenté au moins 20% depuis mars et si cette tendance se poursuivra en 2021, l'augmentation des émissions de CO2 nécessiteraient une compensation climatique en forme d'une forêt couvrant 185 443 km2, soit supérieure à la moitié de l'Angleterre. Il nécessiterait aussi l'équivalent en eau de 300 000 piscines olympiques et une superficie légèrement plus petite que Londres.

 

Source : Engineering and Technology

vendredi 22 janvier 2021

Un yacht de luxe qui marche comme un crabe sur terre

 

Ce catamaran peut abaisser deux grandes vis qui lui permettent de se traîner hors de l'eau. Cependant, la possibilité à passer la nuit sur terre coûte 25 millions.

Le concepteur, l'italien Lazzarini, n’a jusqu'à présent, présenté que des dessins du modèle mais le prix a déjà été fixé. Il ne manque qu'un acheteur avec le goût d’un yacht longe de 25 m, avec propulsion hybride et couvert de panneaux solaires.

Le concepteur appelle sa création un « crabemaran ». A l'origine elle était destinée pour usages militaires. La particularité est que le yacht peut se traîner à terre supporté par une technologie étrange. À l'intérieur de chaque coque il y a un vis hélicoïdale en acier long de 6,5 m et avec un diamètre de 1,2 m. En mer le tournements de ces vis entraînent une vitesse de 5 nœuds et en freinant ils peuvent charger les batteries. Cependant, ils ont encore une fonction.

Les vises peuvent aussi traîner le yacht sur sol. Dans ce cas ils sont abaissés à 60 cm sous les coques et lorsqu’ils tournent le bateau est poussé vers l'avant. La vitesse maximale est de 35 km/h. Un avantage de la technique est qu'elle facilement peut avancer dans l'argile et sable. Selon Lazzarini, c’est un mélangé de design d’une voiture innovant avec un design marin. L'idée est de pouvoir accoster sur des plages pour passer des nuits tranquillement.

Même si la principale source d'entraînement est 2 deux moteurs diesel de 890 ch chacun, le yacht a la capacité de fonctionner jusqu'à 7 heures à l'électricité à une vitesse de 4 nœuds. Il y a 6 batteries de 360 ​​volts, chacune de 40 kWh. Ils sont non seulement chargés par les moteurs diesel mais aussi par les vis et les panneaux solaires. Le constructeur de bateaux estime que 8 heures de propulsion sur diesel peuvent fournir 2 heures de propulsion électrique.

Une version à voile est en étude.

Source : New Atlas


jeudi 21 janvier 2021

La production d'électricité dans l'UE deux fois plus renouvelable qu'en 2005

 

La part des énergies renouvelables dans l'électricité de l'UE représente désormais 1/3 de toute l'électricité produite. C'est un doublement depuis 2005, selon un rapport de l'Agence européenne pour l'environnement.

 

Le passage à l'électricité renouvelable a non seulement réduit l'impact sur le climat, mais aussi réduit l'acidification, l'eutrophisation et les émissions de particules de suie dangereuses.

 

Cependant, ce progrès ne suffit pas. Pour que l'UE atteigne son nouvel objectif climatique de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 55% d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 1990, il en faut davantage plus d’efforts. La part de l'électricité renouvelable doit être doublée une fois de plus et cette fois en 10 ans au lieu de 15 ans.

mercredi 20 janvier 2021

Les images drone révèlent où fuient la chaleur

 

La spécialité de l’entreprise Suédois Spotscale et de 3D-viualiser des images pris par drones. Un de leurs derniers projets est de rendre fuites de chaleur visibles pour 600 immeubles dans 50 zones résidentielles différentes.

 

Spotscale scanne et crée des modèles 3D de grands objets. La société était fondée en 2013 et a depuis lors, entre autres, scanné des parois rocheuses pour des sociétés de jeux, réalisé des modèles 3D de châteaux et aidé des entreprises de construction à produire des calculs sur les terrains à construire. Le dernier projet majeur est une procédure innovante de modélisation automatique d’immeubles locatifs.

 

L’entreprise n’a pas leurs propres drones. Les images sont prises soit par des entreprises externes, soit par leurs clients. Concrètement, les drones collectent des milliers d'images à partir desquelles l'entreprise crée des modèles 3D. La résolution est normalement de 5 mm par pixel.

 

L'un des domaines prioritaires de Spotscale est maintenant à mesurer les fuites de chaleur des bâtiments. Cela se fait en équipant les drones d'une caméra thermique. A trouver ces fuites, difficile à révéler par autre moyennes et puis les corriger est économiquement très profitable pour les clientes.

 

Le besoin à trouver de fuites existe un peu partout. À New York, la mairie a par exemple a fixé l’objectif à réduire la consommation d'énergie à la moitié. C’est pourquoi Spotscale maintenant cherche des partenaires stratégiques pour pouvoir expansé sur la scène international.

mardi 19 janvier 2021

De la lumière bleue d'une nouvelle manière

 

Des chercheurs de l'Université de Linköping, Suède, ont développé un nouveau type de LED bleue qui peut conduire à un éclairage à la fois moins cher et plus efficace.

 

La lumière dans un LED est créée dans une fin tranche d’un semi-conducteur dopé, typiquement arséniure d'aluminium-gallium (AlGaAs). Ce  matériau est cher et c’est pourquoi de la recherche est en cours pour trouver des alternatives.

 

La nouvelle LED est basée sur une pérovskite, un nom collectif pour les semi-conducteurs avec une forme cubique cristalline spéciale. Ces dernières années, les pérovskites ont fait une percée dans la recherche sur les panneaux solaires, parce qu’elles sont simple et peu cher  à fabriquer tout en ayant une bonne capacité à convertir l'énergie solaire en électricité.

Cependant, les pérovskites peuvent aussi faire le contraire, c’est-à-dire émettre de la lumière quand stimulé par un courant électrique. Le problème jusqu'à présent a été la difficulté à produire des LED stables, qui aussi donnent de la lumière bleue. Grâce à une nouvelle méthode de fabrication portant à un matériau plus homogène qu'auparavant, les chercheurs de Linköping y sont parvenus.

 

Il y a déjà des LED pérovskites qui produisent de la lumière rouge et verte mais la couleur bleue n'a pas été stables et change au vert après peu de temps. Les rayons bleus sont les plus énergétiques dans le spectre et en passant par des couches phosphoriques il peut être transformé aux tous autres couleurs et donc aussi au blanc.

 

Les chercheurs vont maintenant essayer d'augmenter le rendement de 11% d’aujourd’hui à 20%. Il n’est pas aussi bon que les LED conventionnelles qui ont un rendement de 40% à 50%.

 

À long terme, les LED pérovskite peuvent remplacer les LED actuelles dans l'éclairage, écrans et les rendre à la fois moins chères. Ce domaine de recherche est encore une technologie jeune. Il reste donc beaucoup de améliorations à faire. Les chercheurs espèrent que les premiers produits seront prêts dans 5 ans,

 

Source : Nature communications

lundi 18 janvier 2021

Est notre galaxie, un cimetière cosmique de civilisations éteintes?

 

 Selon des estimations l'âge notre galaxie, la Voie Lactée, a environ 12 à 13 milliards d'années. A une échelle de temps aussi vaste et compte tenu que le nombre d'étoiles est autour de 200 milliards, des formes de vie intelligentes auraient pu émerger plusieurs fois en différents endroits. Par la même logique, les formes de vie intelligentes auraient aussi, pour différentes raisons, pu disparaître.
 


Une nouvelle étude améliore maintenant la célèbre équation de Drake, qui, en condition que les 7 paramètres constituants sont connus, donne le nombre de civilisations probable dans notre galaxie. Les auteurs de cette recherche présentent leur propre version de cette équation en ajoutant où et quand la vie aurait pu se former, tout en tenant en compte des paramètres de destruction, y compris la possibilité d’autodestruction.

 

Notre soleil est à 25 000 années-lumière du centre de La Voie Lactée, un peu prés mi-chemin vers la périphérie. Cependant, les auteurs font valoir que la distance de 13 000 années-lumière serait la distance le plus propice pour l'émergence de la vie. Le moment le plus favorable aurait été de 8 milliards d'années après la naissance de la galaxie. Cet espace et cette période sont probablement les meilleurs à cibler pour le but à trouver des signes de vie extraterrestre. Cependant, les chercheurs concluent aussi que pendant un si longue échelle de temps, la plupart des civilisations précédentes se sont probablement auto-anéanties.

 

Les chercheurs admettent que le taux d'autodestruction est le paramètre le plus approximatif dans leur modélisation, car il est difficile à prédire en uniquement se basant sur l'histoire de l'humanité. Bien que, même une probabilité extrêmement faible d'autodestruction d’une civilisation intelligente par tous les mécanismes, (par exemple changement climatique, guerre, etc.), signifierait qu'une majorité des civilisations une fois apparu déjà sont éteintes.

 

Source : Space.com

dimanche 17 janvier 2021

Les nouvelles éoliennes de Siemens créeront hydrogène en mer

 

Leurs énormes turbines de 14 MW seront construites pour créer l'hydrogène offshore, qui sera conduit à terre via un pipeline. On pense que le premier parc d’éoliennes de ce type construit par Siemens Gamesa et Siemens Energy produiront de 100 à 200 MW.

 

Si l’EU sera à la hauteur de l'Accord de Paris, l'hydrogène produit à partir d'énergie renouvelable est un élément important pour atteindre les objectifs d'émissions.

 

Siemens Gamesa est le plus grand fabricant mondial d'éoliennes offshore et le principal propriétaire est Siemens Energy. Le plan est d’investir 120 millions euro dans le développement d'éoliennes offshore qui, par électrolyse, directement produire hydrogène.

 

Selon le plan le premier parc sera prêt au milieu des années 20. Il vise à fournir des grandes entreprises et industries chimiques, par exemple pour la sidérurgie où l'hydrogène peut remplacer le charbon. Cependant, des accords pour une production locale d'hydrogène et des pipelines qui l'amènent à terre signifient que les clients ne peuvent pas être trop éloignés du parc.

 

Le premier parc commercial sera probablement dans les eaux allemandes, soit dans la mer Baltique soit dans la mer du Nord. L’ordre de grandeur sera entre 100 et 200 MW, (ce qui un peu prêt correspond à un dixième d’une station nucléaire). Le point de départ est une éolienne de 14 MW qui sera l'unité principale du parc au milieu des années 20. Cependant, elle doit être modifiée pour être converti à production d'hydrogène.

 

Avec cet investissement, Siemens espèrent avancer sur leurs rivaux Vestas et General Motors.

 

L'Allemagne vise à devenir un pays leader dans le domaine de l'hydrogène et l'État a maintenant annoncé qu'il contribuera à hauteur de 700 millions d'euros pour soutenir 3 projets pilotes prévus pour 2025.

 

Source : Reuters