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jeudi 30 avril 2020

La propagation de COVID-19 est trop basse en Finlande !


Pour contrer la propagation de COVID-19 la Finlande a imposé des restrictions beaucoup plus strictes que la Suède. Ils ne sont pas aussi contraignants qu’en Espagne, Italie ou France, mais la région métropolitaine, Nyland, a été mis en quarantaine et des écoles ont été fermées.

Ces mesures ont surtout été implicites très tôt et le « bon » résultat est que il n’y a que 190 personnes mort à cause du virus.

Le responsable de la sécurité sanitaire à l'Institut pour la santé et le bien-être, et l'un des leaders du travail de prévention, Mika Salminen, s’inquiet. Le problème est que la propagation de l'infection maintenant est trop faible.

« Notre objectif a été de protéger la capacité de soins. Nous avons atteint cet objectif, mais aussi le dépassé. Elle, (la propagation de l'infection), est un peu faible maintenant. Parce que si elle est trop faible, il faudra une éternité avant de sortir de cette pandémie. Il est bien sûr bon que les personnes âgées et les malades ne meurent pas, mais c'est un exercice d'équilibre », explique Mika Salminen.

Au rythme actuel, dit-il, le pic de propagation de l'infection ne sera atteint qu'à l'automne. Il ne croit pas vraiment au fait d'esquiver le virus.

« Nous ne nous débarrasserons pas de ce virus par un coup de magie, il n'y a aucune preuve de cela. C'est un vœu dérisoire et ne rien sur lequel nous pouvons construire une stratégie ».

« Un vaccin ne résoudra pas les problèmes cet automne ou l'année prochaine. Ce n'est pas un processus rapide. De tous les vaccins candidats, il y aura peut-être 1 sur 20 ou 1 sur 10 qui mènera à un vaccin qui fonctionne. Ensuite, il aura des essais cliniques et ultérieurement la production et la distribution. 2 ans est très optimiste, tandis que 5 à 10 ans est plus réalistes ».

mercredi 29 avril 2020

Un cinquième du personnel hospitalier en Stockholm a eu covid-19


Depuis un peu plus d'une semaine, 527 employés d’un hôpital en Stockholm ont été testés pour anticorps contre le covid-19. Il y avait 20% personnes positives. Pourtant, il n’est pas connu si elles ont été infectées à l’hôpital ou dans leurs vies privées.

Selon un estimât basé sur statistique et non pas des tests, 25% des habitants en Stockholm ont eu ou auront l'infection au début mai. Le résultat des tests, qui montre la situation il y a 3 semaine, indique que ce estimât reflètent la situation réelle. Donné que li y a un peu moins de cas constaté en Suède qu’en France la situation en France doit être pareille.

Dans une situation sans contraintes sociales il est souvent estimé qu’une personne malade peut transmettre ces virus à 3 autres personnes. Pourvu que 2 de ces 3 personnes sont immunes, c’est-à-dire 67%, l’épidémie ne se rependre plus.

L’environ  25% immunité actuelle n’est donc guère demi chemin vers une immunité collective.

Parce que l’apparition d’un vaccin est dans l’horizon de 1 à 2 ans, il nous reste un bon chemin à faire vers une immunité protégeant. Cependant, il faut le faire sans surcharger les hôpitaux et tout en protégeant les personnes à risque. L’estimât que la situation sera un peu prés normal vers la fin d’été semble réaliste.

mardi 28 avril 2020

Le robot sous-marin qui nettoie les coques des navires


Le transport maritime émet près d'un milliard de tonnes de gaz à effet de serre par an. Il est évidemment un activité qui doit réduire ses émissions. Le fabricant de couleurs Jotun propose maintenant une solution qui peut aider, appelée Hullskater. Le système est composé d'un robot télécommandé et le but est de garder les coques de navires propres sans besoin de nettoyer dans un chantier narval.

Les navires qui traversent les océans collectent au fil du temps un «costume» indésirable d’organismes grimpantes de moules, d'algues et d'herbes marines. Un des problèmes avec ce costume de biomasse est que la friction augmente, ce qui signifie que les moteurs doivent le compenser avec plus de puissance et par conséquence plus de consommation de carburant. De plus, ce biomasse déplacée des espèces entre différentes environnement ce qui peut impacter la flore et la faune.

Le système est composé de deux parties. D'une part, un revêtement appelé Seaquantum, une peinture qui en soi empêchera la croissance, et le robot Hullskater.

Le robot est basé sur le navire et un système connecté à Internet surveille l'état de la coque du navire, la position et l’environnement et indique à l'équipage quand il est temps de nettoyer.

Quand le programme de nettoyage démarre, ce qui doit être fait pendant que le navire est amarré ou au mouillage, le robot s’active. Hullskater adhère à la coque grâce aux roues magnétiques et une brosse rotative enlevé les encroûtements indésirables.

Le robot est, (actuellement), contrôlé par un opérateur de Jotun avec l'aide de 4 caméras Les données sont envoyées via un câble de Hullskater à un émetteur 4g. Un nettoyage dure entre 2 et 8 heures.

Le système est maintenant testé et Jotun espère  de bientôt pouvoir le commercialiser. Le potentiel est énorme. Dans le monde il y a plus de 100 000 grands navires en navigation dont environ 6 000 sont des porte-conteneurs géants.

Selon Jotun, la solution devrait être en mesure à réduire les émissions d'un cargo typique de 22 000 tonnes de CO2, soit 12,5%, sur une période de 60 mois. Ce qui en économie est équivalant à 4 millions de dollars.