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jeudi 31 janvier 2019

La fatigue du soir est un bon signe


Le sexe, l'âge et des facteurs environnementaux tels que la température et la lumière du jour sont importants pour les heures quand une personne préfère dormir. Cependant, la constitution génétique est aussi importante.

Il y a 351 gènes qui souvent diffèrent entre les personnages qui sont soit fringants les matins, soit les soirs. C’est que montre une étude de la génétique de sommeil basée sur près de 700 000 personnes, la plus importante à ce jour. Ces gènes sont important pour le début et à la fin du sommeil mais ne pas à la durée ou à la qualité.

Selon un article apparu dans Nature Communications, ceux qui sont du matin estiment que leur bien-être est supérieur à ceux qui sont du soir. De plus, ils ont aussi moins de risques à souffrir de dépression ou schizophrénie.

Cependant, l’étude n’a pas permis à confirmer les soupçons précédents selon lesquels il aurait une différence de risque pour surpoids ou diabète de type 2 entre ces deux groupes.

mercredi 30 janvier 2019

Les plantes communiquent avec odeurs


Nous les humains sont capable à communiquer par sons et impressions visuelles. Les plantes n’ont pas des organes nécessaires pour le faire mais malgré l’absence de nez elles peuvent communiquer par le moyen d’odeurs.

La capacité de le faire est programmée dans leurs gènes. Les chercheurs ont maintenant découvert les premières étapes de la manière dont les informations provenant des molécules d'odeur modifient l'expression des gènes chez les plantes.

Les plantes détectent une classe de molécules odorantes connues sous le nom de composés organiques volatils. Elles sont essentielles pour de nombreuses stratégies de survie des plantes, notamment pour attirer les oiseaux et les abeilles, pour dissuader les insectes nuisibles et pour réagir aux maladies des plantes à proximité. Ces composés donnent aussi les huiles essentielles leurs odeurs distinctives.

L’équipe de recherche exposait des cellules de tabac et des plants de tabac âgés de 4 semaines aux différents composés organiques volatils. Ils ont découvert que ces molécules modifient l'expression des gènes en se liant à d'autres molécules appelées corégulateurs transcriptionnels, qui ont la faculté de pouvoir activer ou désactiver la fonctionnalité des gènes.

Chez les animaux, les molécules d’odeur sont reconnues par les récepteurs sur la surface de cellules dans le nez où elles immédiatement déclenchent des signales pour le cerveau. Pour les plantes c’est différente. En absence de nez les molécules d’odeur doivent pénétrer dans les cellules où elles s’accumuler avant de déclencher une réaction.

Parce que les plantes ne peuvent pas fuir elles n’ont pas besoin de réagir aussi vite. De pouvoir se préparer pour un changement environnemental dans la même journée est probablement assez rapide pour elles. Par contre, elles ont probablement besoin à reconnaître une grande variété de molécules odorantes.

Les humains ont environ 400 récepteurs d'odeurs. L’animale qui a les plus est l’éléphant qui en a environ 2 000. Mais, en vue que les plantes généralement ont plus de gènes que les animaux, elles devraient être capables à identifier plus d'odeurs.

En long terme cette découverte pourrait être importante pour plantes cultivées. Au lieu d’utiliser des pesticides il serait peut-être possible d’avec un composé organique déclencher le système anti insectes nuisibles avant les attaques. Une autre possibilité serrait de modifier le goût avant la récolte.

mardi 29 janvier 2019

Parle comme moi et je te fais confiance !


Nous avons davantage plus de confiance aux inconnus s’ils parlent comme nous et ne pas dans une langue étrangère ou un autre dialecte. L’explication est probablement notre inclination à douter ceux qui ne font pas partie de notre propre groupe soit sur le plan linguistique ou culturel.

Des chercheurs canadiens en communication ont laissé des personnes écouter des déclarations courtes et neutres en anglais, exprimés avec divers degrés de confiances, accents et dialectes. En enregistrant l'activité cérébrale des participants, ils ont réussi à mesurer et évaluer comment les sujets jugeaient la crédibilité des déclarations.

Lorsque nous décidons à faire confiance, ou non, à un inconnu, la voix et l’apparence aperçue est importante. Dans ce cas il n’y avait pas d’apparence seulement la voix. Ceci a rendu possible à examiner les indicateurs que nous utilisons pour juger les autres en fonction de la manière dont ils s’expriment.

L'étude a montré que lorsque nous jugeons l'appartenance à un groupe, avec seulement la voix comme indice, cette activité est clairement mesurable dans le cerveau. Quand nous percevons le locuteur comme faisant partie de notre propre communauté linguistique certaines parties du cerveau s’activent. Pourtant, l’évaluation de la crédibilité est aussi sans équivoque liée à la mesure dans laquelle leur façon à parler diffère de la nôtre.

L'étude a aussi montré comment il faut parler pour augmenter la crédibilité  malgré le handicape d’avoir un accent ou parler un dialecte. Dans ces cas il est nécessaire de s’exprimer fort, clairement et avec une voix qui ne tremble pas.