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samedi 31 octobre 2015

Un peintre de batailles



https://en.wikipedia.org/wiki/Elizabeth_Thompson#/media/File:Scotland_Forever!.jpg
Le peintre Elizabeth Southerden Thompson, plus tard Lady Butler, (1846 1933), se concentrait au début sur des sujets religieux. Mais en 1879 à Paris elle a vu des tableaux de scènes de bataille fait par Ernest Meissonier et Édouard Detaille, et elle s’est convertie aux ses motifs.

Comme tel elle est devenue une célébrité dans le XIXe siècle et ces tableaux ont eu une immense popularité. Ils faisaient des tours en Europe, ainsi que des photos d’elle. Il y a, bien sûr, aussi eu de la critique dégradent. Jeune, jolie et femme, certaines faisait valoir que c’est qualités étaient plus importants que sont talant.

Cependant, aujourd’hui elle est reconnue comme un de meilleurs peintres de batailles de l’époque. Car, contrairement à le romantisme de l’époque ses peintures sont généralement réalistes et montrent des aspects tels que de la confusion, de la boue et de l'épuisement.


Une gallérie de ses peintures

vendredi 30 octobre 2015

Touchable ou non




Une équipe finlandais-britannique a développé une sorte de atlas de touches permis en laissent plus de 1 300 personnes de cinq pays indiquer ils pensent qu'il soit normal de toucher le corps d’une autre personne. Sans surprise, il s’avère que la plupart des gens pensent qu’il est normal que leur partenaire les touche par tout, ensuite les parties autorisée diminuent avec la distance sociale.

Cependant, il y a une différence claire entre les sexes. Les hommes et les femmes sont plus ouverts aux touches des femmes. Dans la plupart des cas les femmes autorisent aussi des touches sur plus grands parties de leurs corps que les hommes. Logiquement les femmes rapportent plus de liens forts dans leurs réseaux sociaux.

Les résultats ne permet pas les chercheurs de conclure qu’il soit le contact physique qui mène à plus de proximité sociale, ou vice-versa. Cependant, des bons touches sont agréable parce qu’ils libèrent des opioïdes et des ocytocines endogènes. Ce fait peut avoir un impact dans des liens sociaux.

Les participants à l'étude, menée via l'Internet, étaient de Finlande, France, Italie, Russie et Royaume-Uni. Les chercheurs notent que les différences culturelles entre les pays généralement étaient petites.

jeudi 29 octobre 2015

Machines parlantes



« Dans 200 mètres, tournez à gauche ». Les machines qui nous parlent n’est pas une nouveauté mais pour chaque ans qui passent elles le font un peu mieux.

La synthèse vocale, ou paroles à partir d’un texte, ou en anglais text to speach, TTS, consiste à laisser une machine imiter la voix humaine. Elle est utilisé partout où il est désirable d’écouter un message plutôt que le lire. Par exemple dans les GPS, pour apprentissage de langues, pour prothèses de paroles et pour livres de malvoyants. Elle fait donc de plus en plus partie de nos vies quotidiennes.

L'année dernière un journal pour malvoyants suédois c’est convertie à la synthèse vocale. Maintenant c’est la voix « Erik » qui lit le journal. Sa voix a été créée par l’entreprise Acapela. La technique utilisée est appelée sélection d'unités. Elle est basée sur une sélection d'enregistrements sonores de paroles d'une voix humaine qui en différentes manières sont coupés et joints.

Les paroles sont sélectionnées de différents types de textes. Elles peuvent provenir de journaux, de sites Web ou Twitter et des sujets tels que des résultats sportifs ou recettes. L'orateur lit une gamme de 8 000 à 10 000 phrases, sans contextes interdépendants. De créer une voix nécessite environ 40 heures d'enregistrements.

Le résultat est un énorme dictionnaire de prononciations, qui aussi génère des règles. Par fois ils sont trompeurs et dans ces cas il faut ajouter des règles manuellement.

La méthode de sélection d'unités est le type le plus courant aujourd'hui. Il fonctionne très bien pour par exemple des informations sur la circulation routière mais nullement pour des textes plus compliqués, comme par exemple de la poésie.

Pour tous les cas dont l’intonation dépend du contexte, il n’y a actuellement aucune synthèse vocale qui fonctionne bien.

Je vois une voiture. Peut-être que tu ne la vois pas.
Je vois une voiture. Je l’aperçois avec mes yeux et ne pas avec mes oreilles.
Je vois une voiture. Je ne vois pas plusieurs.
Je vois une voiture. Nous somme près d’une route.