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samedi 31 août 2019

Le réalisme photographique dans le film Le Roi Lion


Beaucoup de films sont maintenant produit dans un environnement complètement artificiel et animés par ordinateurs. Ce genre d’ambiance est la spécialité de la startup suédoise Quixel, fondé en 2011, qui maintenant à environ 100 employé et bureaux en plus de 10 pays.

Au cours de l'été, le nouveau tournage du Roi Lion par Disney a rempli les salons. Le film qui est une animation par ordinateur est décrit comme une avancée technologique majeure.

Quixel a développé sa propre technologie de numérisation 3D avec le but de créer des images en haute résolution d'objets et matériaux. Tous leurs images sont ensuite rassemblées dans une base de données appelée Megascans, qui est utilisées par des sociétés cinématographiques et développeurs de jeux. Leur produit fonctionne comme un magasin d’images numérisé.

Dans Le Roi Lion il y a beaucoup de désert, de grandes surfaces de pierre et toutes sortes d'objets présents sur les plaines du Kenya. Dans une large mesure ils reposent sur images numérisé par Quixel.

Les animations et les effets spéciaux du film sont développés par la société de production britannique MPC. Elle a déjà utilisé la base de données de Quixel pour la version animée de Le Livre de la Jungle, récompensée par des Oscars en 2016. Cependant, cette fois, le niveau d’exigences était encore plus élevé.

Les caractères dans le film ont été soigneusement sculptés à la main par les graphistes de MPC. Mais, le monde où se trouve Simba et les autres animaux a été plus ou moins conçu par une nouvelle technologie automatique développée pour ce film. Les ordinateurs traçaient un monde de plusieurs milliers de kilomètres carrés et ils le rendaient vivant grâce aux images 3D numérisé en haute résolution, issu de la base de données de Quixel.

Les cinéastes développaient des algorithmes capable à générer des arbres, des roches, des falaises et modéliser un terrain à partir de ne rien. Un ordinateur réfléchit à la façon dont ce monde animé devrait ressembler, puis ils utilisaient le matériel numérisé dans Megascans pour donner de la vie aux tous ces objets.

Les méthodes utilisées par MPC sont en grande partie des dérivées de l'industrie du jeu vidéo. Dans un proche avenir Quixel pense que les mêmes graphismes avancés feront leurs entré dans nos ordinateurs.

vendredi 30 août 2019

Des bombes nucléaires contre ouragans n’est pas une bonne idée


Le président américain Donald Trump aurait envisagé la possibilité à combattre les ouragans avec bombes atomiques avant qu’ils n'atteindront les côtiers d’États-Unis. L’idée aurait apparu lors d'une conversation avec des agents de sécurité. La NOAA, une structure scientifique dans le Département du commerce, a maintenant expliqué pourquoi cette idée n’est pas bonne.

La puissance d’un ouragan est énorme, entièrement développée elle porte autant d’énergie que l’explosion d’une bombe atomique de 10 mégatonnes - toutes les 20 minutes. De plus, une bombe de 10 mégatonnes est 666 fois plus puissante que la bombe nucléaire lancée sur Hiroshima en 1945.

Un autre effet désagréable de bombes atomiques est évidemment que les substances radioactives se propageraient bien au-delà de l'œil du cyclone.

Les ouragans ses nourrissent sur la différence de température entre l’eau et l’air. C’est pourquoi il apparaisse en automne quand la température d’eau est haute ce qui force l’air en contact avec la surface à monter. Ce mouvement crée un vacuum qui attire l’air entourant. Cependant, les lois de la physique font que ce mouvement vers le centre devienne rotatif, comme le tourbillon dans le drain d’une baignoire. De plus, les forces centrifuges font que la pression d’air diminue ce qui froidi l’air et rend le échange de température entre l’eau et air plus intense. Donné que les ouragans se déplacent, il y a toujours de l’eau chaude pour maintenir ces mouvements. Un fois sur la terre les ouragans s’amortissent assez vite.

jeudi 29 août 2019

Les petits champs ont une plus important biodiversité


Les petits champs cultivés sont souvent considérés comme un obstacle à une agriculture rationnelle, mais ils peuvent réellement être un élément clé pour la conservation de la biodiversité. C’est que constatent des chercheurs dans un article dans la revue PNAS.

Les paysages agricoles où les champs en moyenne mesuraient 1 hectare, (un carré de 100 mètres ou environ 2 plans de foot), ont environ 30% plus d'espèces d'oiseaux, insectes et plantes par rapport aux paysages où les champs en moyenne mesurent 4 hectares. C’est une règle générale pour les 435 terres agricoles de 1 km2 étudiés en Europe et Canada. Lorsque les champs dépassent les 6 hectares, le déclin des espèces commence à se stabiliser. La différence entre des paysages avec de grands champs et des très grands champs n’est pas très importante.

L'explication est que des animaux, des plantes et des oiseaux peuvent mieux vivre dans des petits champs où ils peuvent trouver tout ce dont ils ont besoin. La distance est plus courte à la fois aux bords et aux autres champs. Les chercheurs pensent que lorsqu'un champ est pulvérisé ou labouré, des nombreux petits organismes peuvent se déplacer vers les morceaux d'herbes entre champs ou vers champs à côté. Mais si la distance est trop longue, beaucoup d’organismes n’arrivent pas à le faire.

Les chercheurs espèrent que ces résultats auront un impact sur la politique agricole, y compris au sein de l'UE. Les conclusions ne sont peut-être pas inattendues, mais il s'agit de la plus grande étude de ce type et les résultats sont clairs. Bien que la consommation de carburant soit plus élevée pour petites terrains, la production par mètre carré n’est pas inférieure. Dans certains cas, il peut même augmenter grâce à une meilleure pollinisation et à une réduction d’insectes nuisibles.

Les dégâts suite à des attaques d’insectes ou microorganismes sont aussi souvent plus graves dans les grands champs avec une seule culture.