Dans le désert de l'Arizona une équipe de l'Université
de Berkeley vient d’extrader l’eau
à partir d’air. C’est une prestation remarquable de plus que leur
appareille n’utilise que de l’énergie solaire.
Au cœur du système est un produit en forme de poudre
appelé metal-organic framework, ou MOF. Il fonctionne un peu comme une
éponge qui absorbe le vapeur dans l’air quand la température est basse et la
rejette quand la température est haute.
L’arrangement consiste à un plateau
remplie de MOF entouré d’une boite avec une couverture fenêtré. Pendant les
nuits elle reste ouverte pour que le MOF absorbe le vapeur dans l’air. Quand
fermé pendant le jour le soleil chauffe le MOF, le contenu en eau est rejeté comme
de la vapeur qui condense sur les côtés de la boite.
Le test a eu lieu dans un désert où l’humidité relative
est de 40% pendant la nuit de 8% pendant le jour. Basé sur leur arrangement, assez
primitive et le produit MOF-801 contenant le très cher métal zirconium,
l’équipe estime que il soit possible à extrader 0,2 kg/l’eau par kg MOF.
Cependant, un nouveau MOF, (MOF-303), base sur
aluminium, a été inventé par un des membres de l’équipe. Il est au moins 150
fois moins cher et dans les tests de laboratoire il capture 2 fois plus d'eau. Cette
percé technologique a fait que plusieurs startups déjà se sont engagées à
développer des dispositifs commerciales.
Tout un autre principe pour extrader l’eau dans l’air
est utilisé par l’entreprise Ecoloblue. La
méthode est par condensation sur surfaces froids. C’est un principe assez
conventionnel mais qui à cause de le développement d’énergies vertes elle a attiré
un nouvel intérêt. Pourtant, leur vidéo montre toute la complicité et on se
demande si des telles stations vraiment pourraient être économiques.
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