Des chercheurs d’États-Unis et Japon ont comparé le
ballon de foot pour la Coupe du Monde de 2018 avec le ballon utilisée en Brésil
il y a quatre ans. Suivant des essais dans une soufflerie la conclusion est qu’ils
ne sont pas très différentes mais que la version 2018 vole moins loin. Pour
coups fortes la différence est environ 10%. La procédure suivie est rapporté
dans le Journal
of Sports Engineering and Technology.
La cause est que le nouveau ballon a un coefficient de
résistance à l'air légèrement plus élevé aux vitesses élevées. En ce qui
concerne autre paramètres les deux ballons ne sont pas très aérodynamiquement différentes. Il rester à savoir si les
joueurs en est d’accord.
Plusieurs ballons de coupes du monde dans le passés ont
été critiqués pour leurs caractéristiques inhabituelles. En Afrique du Sud en
2010 les gardiens de buts réprimandé par exemple les ballons pour leurs trajectoires
irrégulières et imprévisibles.
Plusieurs facteurs influent la trajectoire d’un ballon.
Le plus important est qu’ils ne sont jamais parfaitement lisses et que n’importe
petits renflements sur la surface impact la résistance dans l'air. Les joints entre
les 8 pièces de cuir sont particulièrement importantes et des toutes petites
différences peuvent créer des importantes différences de trajectoires.
Une surface qui n’est pas lisse crée plus de turbulences
dans l’air autour du ballon qui signifie plus de résistance et moins de
vitesse.
Le plus problématique est si le ballon n’est pas symétrique.
Dans ce cas il y aura plus des résistances sur un côté que sur l’autre qui
signifie que la trajectoire ne plus sera plus droit mais légèrement courbé.
Combiné avec une légère rotation du ballon il serpentera dans l’air, ce qui
probablement a été le cas en Afrique de Sud.
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