La résistance de traction d’un fil
d’araignée est sur le niveau 100 kp/mm2. C’est sur le même niveau
que les aciers les plus forts. De plus, il est devenu possible de le
fabriquer artificiellement.
Cependant, avec des fibres de
nano-cellulose il est maintenant devenu possible à passe cette force impressionnante
par un facteur 8.
De la nano-cellulose a la forme de
petites et extrêmement résistantes fibres qui donnent de la stabilité
aux plantes et arbres. Ils peuvent être utilisés comme un biomatériau de
renforcement mais à cause de leurs petites tailles elles n’ont pas pu
concurrencer des fibres synthétiques telles que carbone ou Kevlar.
Ce problème a maintenant trouvé une solution
développé par des chercheurs suédois, américain et allemand qui ont réussi à
enchainer des fibres de nono-cellulose. Le résultat est des fibres plus rigides
et plus résistants que le fil d'araignée, qui généralement a été considéré
comme le plus fort biomatériau connu.
La méthode est basée sur des petites fibres coulant dans
l'eau à travers un canal millimétrique. Simultanément
l'eau est pressée sur des côtés, ce qui provoque une orientation des fibres
dans la même direction. Dans ce processus les fibres sont également
chimiquement affectées de sorte qu'elles s'attachent l'une à l'autre. Le
résultat est un fil possible à bobiner sur un rouleau.
Le processus rend possible à fabriquer des très longe fils
qui ensuit peuvent être tissés comme des
tapis et utilisé pour renforcer des composites.
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