Il existe plusieurs façons à
profiter de l’énergie solaire. Le plus ancien est de faire un feu avec plantes ou
arbres séchés. Cependant, calculé sur l’énergie solaire à laquelle ils ont été
exposés, le
rendement est très bas, autour de 0,1% pour végétaux
sauvage et maximum 2% pour végétaux cultivés et ne que le moitié si convertie
en électricité.
Le prix Nobel de Albert Einstein pour
l’effet photoélectrique en 1921 a été le début d’un développement qui en forme
de panneaux photovoltaïque qui maintenant contribuent à quelque peu pour cent
de notre énergie électrique. Pourtant, le rendement n’est pas impressionnant, un
peu plus de 15%.
La troisième manière à produire
électricité à partir de soleil est par un processus purement thermique. Des
tels arrangements consistent typiquement d’un grand nombre de miroirs qui
concentrent les rayons du soleil sur un récepteur dans un tour où ils chauffent
un liquide. Accouplé à une turbine à vapeur ces arrangements ont un rendement
d’environ 30%. Un autre avantage est qu’ils peuvent conserver un peu de la chaleur
généré par le soleil dans un sel fondu et produire électricité quelques heures
après le coucher du soleil.
Chez, Sandia national
laboratories ils expérimentent maintenant avec un
nouveau récepteur de chaleur dans le tour. Le but est de d’augmenter la
température. Car, le plus qu’elle est haut le plus efficace est le cycle
thermodynamique.
La plus haute température avec un
arrangement conventionnel est environ 700 C. En remplaçant les tubes dans le récepteur
avec des petites particules céramique tombant, les ingénieures de Sandia
espèrent augmenter cette température à 1000 C, (vidéo en bas). Dans un calcul
global basé sur le cycle thermodynamique de
Carnot, cette augmentation de la température rendrait
possible à améliorer le rendement de 30% à environ 40%.
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