La puissance de calcul est
devenue une arme importante dans la lutte contre le nouveau virus corona. IBM a
par exemple mis son superordinateur
Summit de 330 pétaflops à la
disposition de la recherche. Les 3 superordinateurs suédois sont maintenant aussi
engagés pour faire des calculs basés sur la situation spécifique du pays.
Il s'agit d’effectuer des
simulations pour clarifier comment différentes mesures peuvent affecter la
propagation de virus. Un partie des données est basé sur des informations
comment des contre-mesures ont fonctionné en Chine.
Cependant, pour rendre les calculs pertinents pour la Suède il faut compléter ces données avec des conditions géographiques, démographiques et autre spécificités pour le pays. Ces dernières sont par exemple comment les gens se transportent pour aller travailler et comment ils font leurs achats. Ces calculs sont si lourds qu’il faut combiner la puissance de 3 superordinateurs pour les effectuer.
Cependant, pour rendre les calculs pertinents pour la Suède il faut compléter ces données avec des conditions géographiques, démographiques et autre spécificités pour le pays. Ces dernières sont par exemple comment les gens se transportent pour aller travailler et comment ils font leurs achats. Ces calculs sont si lourds qu’il faut combiner la puissance de 3 superordinateurs pour les effectuer.
Il s’agit d’une
application dans une branche des mathématiques appelée la théorie des
graphes. D’autres applications typiques sont par exemple comment les
rumeurs se propagent dans les réseaux sociaux et comment les noms de famille
s'éteignent ou restent vivant.
Les chercheurs espèrent
pouvoir présenter le résultat dans 1 semaine.
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