Dans les batteries lithium-ion actuelle la substance
entre les deux électrodes, l’électrolyte, est un liquide organique. Il est
inflammable et un des priorités des constructeurs de voitures électriques est d’éviter
des feux dévastateurs, notamment en enfermant les batteries dans un grand
nombre de parcelles isolés.
Un autre problème avec cette conception est qu’il n’est
pas possible d’utiliser le métal lithium dans la cathode. Car, dans ce cas des rechargements
répétitifs formèrent des ficelles qui créent des courts-circuits
entre les électrodes. Au lieu on utilise un matériau qui absorbe le lithium, le
plus souvent le cobalt.
Des batteries avec un électrolyte à état solide n’ont
pas ces 2 problèmes. En plus elles fourniraient une densité d'énergie plus
élevée. Cependant, il s'est montré très compliqué à trouver un matériau solide
qui est perméable pour lithium-ions et au même temps un bon conducteur
électrique.
Les fabricants d'Europe, États-Unis et Asie se battent actuellement
pour être les premiers à présenter des voitures électriques commercialement
durables. Les constructeurs japonais ont
maintenant compris que les difficultés sont fortement associées avec les
batteries et ils ont fusionné leurs efforts pour développer un technologie pour
demain.
« Avec un développement conjoint de batteries à
l'état solide le Japon va acquérir une
avance technologique de l'ouest - et l'ambition est d’avoir un soutien
financier de la part des autorités du pays », écrit Nikkey
Asian Review.
En plus des constructeurs automobiles, Toyota, Honda et Nissan, Panasonic participe aussi le concepteur de batteries GS Yuasa. Le ministère japonais des Finances a promis d’ajouter plus de 12 millions d’euro dans le projet.
L'objectif est que les batteries à électrolyte solide en 2030 auront doublé le kilométrage moyen des véhicules sur un seul chargement, à 800 kilomètres.
En plus des constructeurs automobiles, Toyota, Honda et Nissan, Panasonic participe aussi le concepteur de batteries GS Yuasa. Le ministère japonais des Finances a promis d’ajouter plus de 12 millions d’euro dans le projet.
L'objectif est que les batteries à électrolyte solide en 2030 auront doublé le kilométrage moyen des véhicules sur un seul chargement, à 800 kilomètres.
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