Le
rendement des panneaux solaire de silicium n’est pas très haut. En conditions
favorables il est possible d’approcher les 20%. En appliquant un couche
additionnelle il sera dans un proche avenir possible à faire un peu mieux. Il soit
peut-être même possible à atteindre les 30%.
Avec
une technologie purement thermique et réalisé par le Cycle
de Brayton, utilisé dans des turbines à gaz, il est
possible à faire mieux. Cependant, le rendement dépende de la température
maximale. Le plus haut qu’elle est, le plus haut est le rendement. Dans un
cycle appelé S-CO2, (CO2 supercritique comme media interne), et une température
maximal de 550 C, il est possible d’atteindre un rendement vers les 50%.
Cette
température n’est pas difficile à atteindre en concentrant les rayons du soleil
sur des tubes. Pourtant, la pression de CO2 supercritique est plus de 73 atm,
qui est trop haute pour des telles tubes. Au lieu il faut utiliser un sel fondu
pour transporter la chaleur à des échangeurs thermiques qui chauffent le CO2.
Le problème est que ces
échangeurs actuellement sont fabriqués en acier inoxydable et ces alliages ne supportent
pas la combinaison de cette haute température et l’énorme pression du CO2.
Inspiré par les matériaux
utilisés dans des gicleurs de fusées spatiales des chercheurs à Purdue
University et Massachusetts Institute of Technology ont maintenant trouvé
une solution au problème. C’est un composites de la céramique
carbure de zirconium et le métal tungstène.
Grace
à ce matériau il est maintenant devenu possible à concevoir des centrales
solaires thermiques avec un rendement tant haut que 50%. Ils seront évidemment
plus complexes que des panneaux solaires mais grâce à le haut rendement il y a
une possibilité qu’ils soient économiquement compétitifs.
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