Le robot de transport, G Plus, avec 3 solide-state lidars,
2 avant et 1 arrière
Au début du développement de véhicules autonomes les
systèmes dépendaient beaucoup de cameras. Mais, des caméras ne fonctionnent pas
bien pour toutes les tâches nécessaires. Elles n’sont par exemple pas très bien
pour estimer la distance aux objecte entourant.
Ce problème semble maintenant résolu avec l’introduction
de lidars. Ils fonctionnent
un peu comme les radars mais avec des rayons de laser. La distance d’un objet
est donnée par le délai des pulsations de retours rebondés sur un objet. Donné
que le laser n’émette que des rayons concentrés, les lidars doivent scanner
l’environnement pour concevoir une image 3D. Les premières lidars pour
véhicules autonomes étaient placés sur le plafond et utilisaient un miroir rotant
pour scanner l’environnement.
Pour le dernier développement de lidar les ingénieurs
ont réussi à éliminer les parties mécaniquement mouvantes. Au lieu ils utilisent
un petit miroir qui bouge grâce à un arrangement de microsystème
électromécanique, MEMS. Ils sont basés sur des matériaux qui changent leurs
formes quand stimulés avec des impulsassions électriques.
Dans ce nouveau lidar les miroirs vibrent avec des
centaines de kHz. Par rapport aux lidars rotatifs le désavantager est qu’ils,
comme des carmeras, ne sont capables qu’à couvrir qu’un certain angle. Il faut
donc utiliser plus mais d’autre part, ils sont beaucoup moins chers.
Le chinois Alibaba a été la première entreprise à introduire
ce nouveau lidar. Sur leur robot de transport, G Plus, ils sont 3, deux avant
et un arrière.
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Rédactrice
et traductrice Italien-Français à votre service
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