Les tendances

IBM était un des premières entreprises à développer des ordinateurs personnels. Malgré sa position dominant sur le marché IBM a, dans des années 1980, échoué à détecter la tendance d’ordinateurs personnels en  réseau. La conséquence a été des pertes sur l’échelle de plusieurs milliards de dollars.

Plus sage à cause de l’échec, IBM a, en 1989, créée une structure pour capturer les nouvelles tendances technologiques et encourager les innovations appelé l’Academy of Technology.  

Andrea Martin aime à créer des réseaux et ainsi influencer 

le processus de développement de la technologie.

Depuis cet été elle a un nouveau présidant, Andrea Martin, qui est stationné à Munich. Elle est la tête d’une organisation de 783 scientifiques et ingénieurs qui ont la tache de prédire les tendances les 3 à 5 prochaines années.

Selon elle IBM fond des efforts en transformation numérique, par exemple les structures informatiques pour la 3D-imprimante. L’automatisation intelligente est un autre thème lié avec le traitement des données de capteurs. Une troisième nouvelle tendance est le traitement des données capturées par l’électronique intelligente porté sur le corps humaine. Par exemple, que faire avec toutes les données saisies par les lunettes de Google ?

Andrea Martin pense aussi que l'internet des objets se développera rapidement et fournira des services que nous ne pouvons pas nous imaginer aujourd'hui. Des réfrigérateurs qui trouve des aliments les moins cher et les plus utiles, qui même seront capable de négocier le prix, est une application possible !

Le supercalculateur Watson est un produit phare d’IBM, qui pendant 10 ans a coûté 7 milliards dollars à développer. Selon Andrea Martin le prochain défi est de lui faire comprendre tout la complexité dans la langue humaine, incluant incertitudes et ironies.

Mais, Andrea Martin est aussi consciente que des très bonnes innovations peuvent couler. Cela arrive si le marché n’est pas mature et un exemple est le système de compréhension de paroles, développé par IBM il y a 25 ans.

Pour réussir il n’est donc pas suffisant de développer des systèmes ingénieux. Il faut aussi que tous les éléments nécessaires pour une introduction sur le marché soient en place.