Celui qui beaucoup utilise les mots je et moi, (I et me),
se combattent plus souvent avec des sentiments négatifs. En effet, juste l’usage
ces pronoms personnels peuvent signaler qu’une personne lutte pour maîtriser
ses sentiments de colère, dépression ou inquiétude. C’est que montre une étude
publiée dans le Journal of Personality
and Social Psychology.
Les scientifiques américains en psychologie ont étudié comment 4 700 personnes se expriment. Une personne moyenne prononce environ 16 000 mots par jour. Un dixième d'eux sont les pronoms je, moi et mon, (I, me et my).
Les scientifiques américains en psychologie ont étudié comment 4 700 personnes se expriment. Une personne moyenne prononce environ 16 000 mots par jour. Un dixième d'eux sont les pronoms je, moi et mon, (I, me et my).
Mais, certains personnes peuvent prononcer ces pronoms
quelques milliers de fois par jour et quand ce nombre augmente la probabilité
que le locuteur soit dérangé par des sentiments négatifs augmente aussi. C'est
surtout les je et les moi, (I et me), qui peuvent
le signaler. L'utilisation diligente de mon, (my), ne peut, dans
la même mesure, être liée à de tels sentiments. Selon les chercheurs,
l'explication est probablement que mon, (my), est utilisée quand
une personne parle de lui-même par rapport à d'autres. Par conséquent, celui
qui souvent dit mon, (my), n’est peut-être pas aussi concernait avec
ces propres sentiments que celui qui beaucoup utilise dit je et moi,
(I et me).
De la recherches antérieures a montré que les gens qui, à la fois en paroles et en écrits, sont des utilisateurs assidus de je, moi et mon, (I, me et my), sont plus souvent déprimés. Cette corrélation est confirmée par cette étude. La nouveauté est que certains pronoms personnels ne sont pas seulement associés la dépression mais qu’ils a aussi ont un lien avec d'autres sentiments négatifs comme anxiété, colère et préoccupation.
De la recherches antérieures a montré que les gens qui, à la fois en paroles et en écrits, sont des utilisateurs assidus de je, moi et mon, (I, me et my), sont plus souvent déprimés. Cette corrélation est confirmée par cette étude. La nouveauté est que certains pronoms personnels ne sont pas seulement associés la dépression mais qu’ils a aussi ont un lien avec d'autres sentiments négatifs comme anxiété, colère et préoccupation.
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