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dimanche 26 janvier 2014

De la poussière intelligente



L’expression est peut-être un peu étrange. Mais, de la poussière intelligente, smart dust, est une expression qui fait référence aux capteurs, qui dans un très grand nombre, enregistrent donnés divers et les envoient sans fil vers un destinateur pour analyse

Condition de voitures, fissures de ponts, embouteillages de routes, alarmes de foyers, niveaux d’eau dans des rivières…Tout types de surveillance sera possible dans un proche avenir. Les plus optimistes des optimistes pensent qu’il aura un trillion chose connectés en 2025. Il s’agit probablement d’un trillion anglophone, qui égale mille milliard ou environ 100 capteurs par personnes sur la terre.

Comment les identifier ? Les numéros de téléphone tels que nous les connaissons ne suffiront pas. Il faut au moins 9 chiffres. Voila un des nombreux problèmes logistiques à résoudre.    

Ce chemin de développement est devenu possible par le fait que le volume d’électronique moderne est presque inexistant et que la fabrication en masse les ont rendu peu chère. Les composants les plus coûteuses dans un téléphone portable d’aujourd’hui sont l’écran, les touches et la batterie. De la poussière intelligente n’a pas besoin d’écrans ni touches et les petites puces qui captent des choses et assurent la communication et ne coutent presque rien.

Pourtant, le maillon faible est que ces grains de poussière auront tous besoin d’énergie. C’est un des raisons pourquoi nous n’avons pas encore des panneaux de limite de vitesse adaptés aux conditions des routes. Il y a simplement un manque d’électricité le long le parcours.

Des solutions sont envisageables mais avant qu’ils ne soient réalisables, il y a des progrès technologiques à faire.

Une piste possible est panneaux solaires mais les plus efficaces, basés sur silicium, sont trop chère. Des alternatives bien marchés existent, par exemple fabriqués avec polymères ou dioxyde de titan, mais ils n’ont que la moitié du rendement et se dégradent plus vite. En plus, il faut des batteries pour prendre le relais quand il n’a plus de lumière mais celles avec la plus haute densité énergétique sont coûteuses.

Vibrations, variations barométriques et température d’air sont autres sources envisageables. La chasse pour récolter énergie est en plein boom.

À cause du problème énergétique, je n’en crois pas trop à la petite taille de la poussière. Pourtant, il existe pleins d’applications potentielles où la taille n’est pas le facteur limitant. Un exemple est des capteurs pour mesurer le remplissage dans des bennes de triage. Dans ce cas il y a de la surface pour panneaux solaires. Il est donc envisageable d’utiliser des panneaux de faible rendement. Ces appareilles rendra possible d’éviter que des camions font des tours pour vider des bennes demies pleines qui vaudra beaucoup d’économie.

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