Pendant des millénaires les humains se sont émerveillés de
la variété et de la diversité apparemment illimitée des animaux sur la Terre.
Actuellement les biologistes ont un catalogué d’environ 1,5 million d'espèces
animales. Beaucoup pensent qu’il existe autant à découvrir.
Les animales sont catégorisées dans environ 30 branchements évolutionnaires
mais ils diffèrent considérablement en nombre d'espèces inclus, d'une seule à
plus de 1,2 million dans la catégorie des insectes. En formes et en modes de
vies toutes ces espèces ont des variations incroyables. Certain n’ont même pas
des têtes, des yeux, des membres ou des organes complexes, par exemple les
éponges marines immobiles et les parasites qui vivent à l'intérieur d'autres
organismes.
Donné cette éblouissante collection de formes de vie, une
question reste aussi insaisissable qu'il est évident. Pourquoi certains groupes
évolutionnaire ont-ils tant de richesse alors que d'autres ne comprennent
qu’une poignée d’espèces ?
C’est une question que des biologistes
à l'Université de l'Arizona maintenant ont abordé.
Ils accumulaient une base de données de 18 traits, y compris
des traits liés à l'anatomie, la reproduction et l'écologie. Puis ils testaient
comment chaque trait était lié au nombre d'espèces dans chaque groupe et à
quelle vitesse les espèces dans chaque groupe se diversifié au fil du temps.
Ils ont conclu que 3 traits expliquaient la grande variation en diversification. Les groupes les plus réussis sont ceux qui ont un squelette, vivent sur la terre et parasitent sur d'autres organismes. D'autres traits, y compris ceux qui pourraient sembler plus marquantes, ont étonnamment peu d'impact. Les réalisations évolutives telles que la tête, les membres et les organes complexes ne semblent pas être des accessoires primaires pour réussir en diversité.
Ils ont conclu que 3 traits expliquaient la grande variation en diversification. Les groupes les plus réussis sont ceux qui ont un squelette, vivent sur la terre et parasitent sur d'autres organismes. D'autres traits, y compris ceux qui pourraient sembler plus marquantes, ont étonnamment peu d'impact. Les réalisations évolutives telles que la tête, les membres et les organes complexes ne semblent pas être des accessoires primaires pour réussir en diversité.
Ténia
Si un animal porte 10 différentes parasite et se diversifie
en 2 espèces ces 10 parasites doivent s’adapter à un nouvelle environnement et forme
10 nouveau espèces. C’est-à-dire que les parasites ne parasitent pas seulement
sur leurs hôtes pour vivre mais aussi pour se diversifier.
Pourquoi un squelette et une vie sur la terre serait
bénéfique pour la diversité reste à expliquer.
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