Dans les transports
publics il me semble qu’environ 1 co-passager sur 2 profondément contemple le
contenu de son portable. Le problème pour eux est que la connexion fonctionne
bien dans les bus mais ne pas dans le métro ou le TGV.
La difficulté est
fondamentalement liée à la technologie du réseau. Les ondes porteuses sont de la
taille 1 – 300 mm et ils sont rapidement absorbés par tous gendres d’objets, naturelles
ou non. Pour qu’ils arrivent il faut peu d’obstacle entre le téléphone et
l’antenne émetteur. C’est pourquoi le réseau est configuré en parcelles de
quelques kilomètres carrés. Pour trouver la bonne parcelle il y a dans le cœur
du système un base de donné qui suive la localisation de chaque abonné.
Le système doit évidemment
aussi être capable à relocaliser un abonné quand il se déplace d’une parcelle à
un autre, par exemple en voiture. Pourtant, en haut vitesses de déplacement la
tache devin difficile. Un TGV peut atteindre 300 km/h et si il y a une antenne
tous les kilomètres il faut changer parcelle 5 fois par minute ou tous les 12
seconds.
Le plus puissant réseau
actuel, le 4G, n’est pas capable à le faire mais la possibilité s’ouvre avec le
5G, qui est beaucoup plus rapide et sera opérative dans quelques années.
Le système envisagé est de
montés des antennes sur des poteaux le long de la voie ferrée sur environ
chaque km. En utilisant une méthode appelée beamforming,
formation de faisceaux, les signaux dans cette ligne de transmission sont dirigé
vers des récepteurs sur les trains arrivant à haut vitesse, jusqu'à 300 km/h. Les
ondes auront un longer d’environ 1 mm, ce que rendra des connexions
multi-gigabits possible. Ensuite, il aura des antennes dans chaque wagon qui distribuent
des ondes de la longueur d’environ 80 mm, utilisés par le 5G, aux passagers.
Cette solution est selon
les experts possibles mais il faut de temps pour installer l’équipement
nécessaire.
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