1. Un matière de feu intégré
Dans les années 1700 des nombreux chimistes avaient l’idée que les matériaux combustibles contenaient un composant particulier, appelé phlogiston. Quand un morceau de bois brûle, on pensait que le phlogiston échappait et laissait les restes comme cendre.
Dans les années 1700 des nombreux chimistes avaient l’idée que les matériaux combustibles contenaient un composant particulier, appelé phlogiston. Quand un morceau de bois brûle, on pensait que le phlogiston échappait et laissait les restes comme cendre.
2. Plus lourd après avoir été brûlé
Le chimiste français Antoine Lavoisier, (1743-1794), a fait de nombreuses expériences de combustion. Entre autres choses, il a brûlé du phosphore dans un récipient fermé. Suivant cette procédure le phosphore brûlé avait pris du poids et la quantité d'air dans le vaisseau avait diminué.
Le chimiste français Antoine Lavoisier, (1743-1794), a fait de nombreuses expériences de combustion. Entre autres choses, il a brûlé du phosphore dans un récipient fermé. Suivant cette procédure le phosphore brûlé avait pris du poids et la quantité d'air dans le vaisseau avait diminué.
3. Les soupçons se dirigent vers l’air
Ce résultat ne correspondait pas à la théorie du phlogistique. Antoine Lavoisier devient convaincu que les substances brûlent en réagissant avec l'air ou un composant dans l'air.
Ce résultat ne correspondait pas à la théorie du phlogistique. Antoine Lavoisier devient convaincu que les substances brûlent en réagissant avec l'air ou un composant dans l'air.
4. L’air dé-phlogistoné
Le pharmacien suédois Carl Wilhelm Scheele, (1742-1786), avait produit un gaz qu'il appelait feu d’air. Indépendamment, le Britannique Joseph Priestley (1733-1804) a découvert le même gaz et il l’a nommé air dé-phlogistoné.
Le pharmacien suédois Carl Wilhelm Scheele, (1742-1786), avait produit un gaz qu'il appelait feu d’air. Indépendamment, le Britannique Joseph Priestley (1733-1804) a découvert le même gaz et il l’a nommé air dé-phlogistoné.
5. Une nouvelle langue
Antoine Lavoisier a identifié l’air dé-phlogistoné comme manquant un composant actif dans l'air normal. Il a aussi exécuté une longue série d’expériences de combustions pour persuader ses collègues chimistes d’abandonner la théorie du phlogistique. Il propageait aussi pour une réforme du langage en remplaçant les termes antiques et médiévales par des mots mieux correspondent à la nouvelle compréhension.
Antoine Lavoisier a identifié l’air dé-phlogistoné comme manquant un composant actif dans l'air normal. Il a aussi exécuté une longue série d’expériences de combustions pour persuader ses collègues chimistes d’abandonner la théorie du phlogistique. Il propageait aussi pour une réforme du langage en remplaçant les termes antiques et médiévales par des mots mieux correspondent à la nouvelle compréhension.
6. Oxygène, un mot grec pour créateur d’acides
Il a également découvert que la même substance était impliquée dans des combustions générant des acides. En 1787, il l’a donné le nom oxygène et ce nouveau mot s’est répandu dans d'autres langues. En nos jours, nous savons que l'oxygène n'est pas le composant qui créée des acides acide mais les ions d’hydronium. Pourtant, oxygène est toujours un mot vivant.
Il a également découvert que la même substance était impliquée dans des combustions générant des acides. En 1787, il l’a donné le nom oxygène et ce nouveau mot s’est répandu dans d'autres langues. En nos jours, nous savons que l'oxygène n'est pas le composant qui créée des acides acide mais les ions d’hydronium. Pourtant, oxygène est toujours un mot vivant.
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