Dans une expression faciale dont quelqu’un peut voir de la
peur ou de l’infériorité, une autre personne peut voir de la rage ou de la menace.
C’est que constatent des chercheurs américains et espagnols dans une étude
publiée dans PNAS.
Les auteures ont étudié la façon dont les Espagnols et les Trobriandais en
Papouasie-Nouvelle-Guinée interprète différentes expressions faciales.
L’idée qu’il existerait un large éventail d'expressions faciales universelles a pendant longtemps été rependu. De Groenland à la Nouvelle-Zélande, une personne souriant serait selon cette hypothèse être identifiée comme un individu de sentiment positif et heureux. Mais cette notion a ces dernières années été remise en question.
L’idée qu’il existerait un large éventail d'expressions faciales universelles a pendant longtemps été rependu. De Groenland à la Nouvelle-Zélande, une personne souriant serait selon cette hypothèse être identifiée comme un individu de sentiment positif et heureux. Mais cette notion a ces dernières années été remise en question.
Plusieurs études ont montré que les expressions faciles
universelles en réalité ne sont qu’universelles dans le monde occidental. Dans
des cultures plus lointaines il n’est pas inhabituel qu’une expression faciale exprime
un autre sentiment que chez nous. C’est aussi la conclusion qui a fait ces chercheurs
qui ont comparé les Espagnols et les Trobriandais.
Les îles Trobriand appartiennent à la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Ces sont des
atolls coralliens formant un archipel au large de la côte orientale de l’île
principale. L'équipe de recherche a choisi des adolescences Trobriandais
parce qu’ils généralement ont eu peu de contacts avec le monde occidental. La
plupart d’eux ne parlent que le kilivila, une langue malayo-polynesian.
Il est avéré qu'il y avait des différences significatives
entre les groupes. Les trobriandais interprétaient de différentes expressions
faciales avec une plus grande variété. Des expressions que les espagnols associaient
avec peur et infériorité signifiaient pour les trobriandais colère et menace.
Non plus avaient les deux groupes le même choix lorsqu'ils étaient demandés à choisir une expression faciale qu'ils percevaient comme la plus menaçante. Les trobriandais choisissaient une image qui dans l'ouest est associé avec la peur. Les Espagnols choisissaient une image d'une personne en colère.
Non plus avaient les deux groupes le même choix lorsqu'ils étaient demandés à choisir une expression faciale qu'ils percevaient comme la plus menaçante. Les trobriandais choisissaient une image qui dans l'ouest est associé avec la peur. Les Espagnols choisissaient une image d'une personne en colère.
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