Il y a des animaux qui par nature sont curieux et aiment examiner
des nouvelles choses dans leur environnement. Ils sont neophiles. Le contraire
existe aussi et ces animaux sont neophobes.
Ces deux caractéristiques vont main à main avec la façon dont ils vivent. La réglé générale est le plus large que est le choix de nourriture le plus les animaux ils sont neophiles. Des généralistes comme des rats et des couchons sont des bons exemples.
Ces deux caractéristiques vont main à main avec la façon dont ils vivent. La réglé générale est le plus large que est le choix de nourriture le plus les animaux ils sont neophiles. Des généralistes comme des rats et des couchons sont des bons exemples.
Le contraire est vrai pour animaux qui sont spécialistes, par
exemple les koalas, qui se uniquement nourrir de feuilles d’eucalyptus. Ils n’ont
pas d’intérêt à chercher d’autre choses.
Les humains sont donc par la nature neophiles. C’est-à-dire
que nous avons, dès notre naissance, un fort désire d’examiner notre environnement.
Dans un certain âge les enfants mettent même tous qu’ils trouvent dans la bouche
comme s’ils cherchent à se nourrir.
Notre vu sur la curiosité a beaucoup évolué pendant
l’histoire.
Pour les anciens philosophes grecques la curiosité était une
fonction inutile. Aristote faisait valoir qu’elle attirait le regard vers des
futilités et obstruait la recherche de la vraie connaissance. Une certaine admiration
pour le monde était bonne comme une force motrice pour méthodiquement concevoir
des connaissances. Mais, d’être fasciné par tout, à réfléchir sur des choses qui
dépassent la limite des régularités qui caractérisent l'univers, était tout
simplement une perte de temps.
La curiosité a été encore plus prise au piège avec le
développement du christianisme. Augustin d'Hippone, (354-430),
décrit la curiosité comme une maladie, une partie des péchés du monde. Tout dont
les humains n'auront jamais besoin à savoir était selon lui déjà dans la Bible.
De se poser des questions sur la vie et l’univers, était essentiellement
vouloir se lier avec le diable.
Près de mille années plus tard le théologien Thomas d'Aquin,
(1225-1274), écrit que la connaissance en soi est bonne, mais que la quête de
l'homme pour savoir plus rarement est bonne. L'âme a un désir de savoir, de la
même manière que le corps a un désir pour la nourriture et le sexe. Il fallait réduire
ces désirs. Ceux qui se souciaient de leurs âmes, devraient préférablement ne
pas trop penser.
Après le moyen âge, dans les siècles 1500-1600, il y a eu un
changement progressif. Le désir d'explorer le monde est devenu plus acceptée.
La société laïque moderne commençait lentement à prendre forme. Le pouvoir de
l'Église était contesté par des rois et empereurs. Ils fournissaient aussi des
refuges pour philosophes naturels qui pouvaient développer des pensées autrefois
interdites. De plus, grâce à l'invention de l'imprimerie, il est devenu possible
à diffuser des nouvelles pensées à une plus grande audience que ne jamais.
Cependant, les progrès n’avançaient qu’en petits pas. Il
n’était que vers la fin des années 1800 que la curiosité est devenue plus répandue
et socialement acceptable - pour les adultes. Les enfants devraient encore
apprendre sans se poser de questions.
La perception positive de la curiosité naturelle des enfants est un phénomène très récent. C’est une innovation éducative des années 1900.
La perception positive de la curiosité naturelle des enfants est un phénomène très récent. C’est une innovation éducative des années 1900.
« Il est importante de ne jamais cesser de se interroger.
La curiosité a sa propre raison d'être » a dit Albert Einstein.
Maintenant les enfants sont par conséquence incités à se
poser des questions et même faire de la recherche à l'école.
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