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vendredi 13 février 2015

La mer baltique



J’ai grandie 200 mètres de la mer Baltique. Elle n’est assez grande pour être appelé océan mais la taille est quand même considérable. Dans le sud, au niveau de Danemark, elle s’ouvre vers l’Atlantique qui fait que l’eau salé s’infiltre sur le fond et la rende légèrement salé. Autour de Stockholm la salinité est environ 1 %. C’est aussi est la concentration physiologique de nos corps humains, qui fait que l’eau infiltré dans les yeux ou dans le nez quand on s’y baigne ne fait pas mal.

Environ 90 millions de personnes vivent dans la région Baltique et ils  déversent leurs eaux usées dans la mer. Beaucoup usines de traitement des eaux usées ont été construit en Pologne et les Etats baltes les dernières décennies qui éliminent les émissions de l'azote et phosphore. Mais, de nombreuses substances nocives les dépassent. Ces sont divers types de médicament - antibiotiques, hormones, antihistaminiques, antidouleurs et beaucoup plus.

Ces substances sont conçu pour influer les systèmes biologiques. Les médecins prescrivent ces médicaments aux malades avec des meilleures intentions mais ils sortent avec l'urine et arrivent enfin dans la mer. Ils ondulent donc dans la mer jusqu'à ce qu'ils aient été décomposés, ce qui peut prendre des années.

La fonction biologique des humains est assez similaire au moules et autres organismes marins qui fait que ils aussi sont touchés par les médicaments. Cependant, un moule n’a gère besoin d’un antidépresseur.

La recherche du sujet qui a été fait est décevante. Les médicaments compliquent à la fois la croissance et la reproduction des organismes marins. Et, un cocktail de différentes substances a un effet plus important que la même concentration des médicaments séparément.

La biomasse de la mer Baltique se compose à 80% des invertébrés, notamment des moules. Ces derniers sont particulièrement importants, car c’est eux qui sont les principaux organismes de l'assainissement. En fait, toute la masse d'eau de la mer Baltique peut être filtrée par les moules 4 fois en un an. Si les moules disparaîtraient de la mer Baltique elle se transformerait à un égout.

Mais, il y aussi de raisons d’être optimiste. Des expérimentations avec une 4eme étape d’épuration est en cours. Les 3 relais classiques, mécanique, biologique et chimique, peuvent bientôt être complimentés avec une étape de décomposition de molécules complexes médicales. Une combinaison d’ozone et de la lumière ultraviolette serait efficace.

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