Combien sont les accordeurs
de pianos à Los Angeles ? La question est un classique qui a été posé aux demandeurs
d’emplois chez Microsoft.
Sur le site Glassdoor ils ont fait une liste sur des questions étranges qui parfois peuvent apparaitre dans un entretien d'embauche. Selon le site C|net, les entreprises de haute technologie sont connues pour leur habitude d'exposer les demandeurs d'emploi à une peine en leur demandant de résoudre un problème mathématique idiot ou répondre à une question impossible.
Sur le site Glassdoor ils ont fait une liste sur des questions étranges qui parfois peuvent apparaitre dans un entretien d'embauche. Selon le site C|net, les entreprises de haute technologie sont connues pour leur habitude d'exposer les demandeurs d'emploi à une peine en leur demandant de résoudre un problème mathématique idiot ou répondre à une question impossible.
Sur la liste des
25 questions les plus bizarres de l'an passé, 16 ont figuré dans des
entreprises technologiques.
« Pourquoi est une balle de tennis floue » ? Cette interrogation a été posée par Xerox. Une personne qui voulait un emploi chez Apple a été invitée à expliquer à quoi une paire de ciseaux pouvait servir un livreur de pizza.
« Pourquoi est une balle de tennis floue » ? Cette interrogation a été posée par Xerox. Une personne qui voulait un emploi chez Apple a été invitée à expliquer à quoi une paire de ciseaux pouvait servir un livreur de pizza.
Demandeurs d'emploi chez Akamai Technologies peuvent être exposés à un problème, qui est loin d’étrange, mais très difficile de répondre rapidement. Un intervieweur a voulu savoir : « Comment fonctionne l'internet » ?
Sur le site Glassdoor il y a une explication pourquoi ces types de
questions sont posés. L'objectif est
évidemment ne pas d’avoir des correctes réponses
sur combien de stations de gaz
il existe aux États-Unis ou combien de pelles à neige qui sont vendus chaque année.
Un recruteur explique : « Je me ne soucie pas de la bonne réponse. Ce que je veux savoir est comment la personne raisonne logiquement ».
Un recruteur explique : « Je me ne soucie pas de la bonne réponse. Ce que je veux savoir est comment la personne raisonne logiquement ».
L’idée fondamentale est de confronter les candidats
avec des problèmes qui ne sont pas dans leur répertoire immédiat.
Si la méthode vraiment fonctionne, ou s’il s’agit d’un mode volatile, est difficile à savoir.
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