Détox est très à la mode. La presse populaire nous conseille
des méthodes diverses qui ont en commun qu’elles
probablement ne fonctionnent pas mais qu’elles à cause de l’effet placebo nous
rendent plus contentes. Il est vrai que le corps humaine a besoin de
s’embarrasser de certains substances qui en haut concentrations sont nocives. Plusieurs
organes sont impliqué pour faire ce nettoyage, notamment les reins, le foie et
les intestines.
Selon de la recherche récente il semble maintenant que aussi
les muscles en participent. Que des exercices protègent le
cerveau à la fois de stress
et dépressions a été constaté mais précédemment
on ne savait pas comment cet effet est
atteint. Des
chercheurs de l'Institut Karolinska de Stockholm ont
maintenant montré que les muscles purifient le sang d'une substance qui est formée au cours du stress.
Comment une dépression fonctionne sur le
niveau purement neurobiologique n’est toujours pas connu
mais l’étude a contribué avec une pièce biochimique du puzzle. L’équipe a fait
des études sur souris montrant que ceux qui ont des muscles entraînés, avec une concentration élevée de la protéine PGC-1a1, font mieux dans un environnement
stressante que des souris mal entrainés.
Après cinq semaines de bruits, de lumières clignotantes et un rythme circadien inversé des souris normale avaient développé un comportement dépressif. Cependant, les souris génétiquement musclés n’avaient pas ces symptômes.
Après cinq semaines de bruits, de lumières clignotantes et un rythme circadien inversé des souris normale avaient développé un comportement dépressif. Cependant, les souris génétiquement musclés n’avaient pas ces symptômes.
La première hypothèse de l’équipe a été que les
muscles produisent une substance bénéfique pour le cerveau. Mais, ils ont trouvé le contraire : Des muscles entraînés émettent
une enzyme qui nettoie le corps des substances nocives. L’activité musculaire
dans ce contexte rappelle donc à la fonction des reins ou le foie.
Le découvert fondamentale est que des souris avec des
niveaux plus élevés de PGC-1a1
dans ces muscles aussi avaient un niveau
plus élevés d'une enzyme appelée CAT.
À son tour elle décompose la substance kynurénine qui est formé au cours du stress et qui a été mesurée en taux élevés chez les personnes atteintes de maladies mentales.
La découverte ouvre possiblement un nouveau principe pharmacologique
dans le traitement
de la dépression. Peut-être serait-il possible d'influencer
les fonctions des muscles au lieu
des fonctions cervicales.
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