Benjamin Franklin
a essayé de capter l'énergie
de la foudre et invente le paratonnerre en 1752.
C'est l'été et la foudre
frappe de temps en temps. En effet, mondialement il y a en ce moment 1800
orages qui génèrent environ 45 éclairs
par seconde.
Dimanche passé 43 500 éclairs ont
frappé la Suède. C’est le plus important nombre depuis les 12
ans que la météo suédois a un système de mesures en place. Dans l'ensemble
il s'agit d'énormes quantités d’énergies libérées.
Une décharge typique
correspond à un
courant de 30 000 ampères et
elle est très court, environ 0,1 milliseconde
mais la teneur en énergie varie
fortement. Pour des fins statistiques elles sont de 3 catégories, forte,
moyenne et faible.
Forte :
100 millions de volts, 150 000 ampères,
deux décharges.
Normale : 30 millions de volts, 20 000 ampères, deux décharges.
Normale : 30 millions de volts, 20 000 ampères, deux décharges.
Faible : 10 millions
de volts, 2 000 ampères, une
décharge.
Une décharge se
produit pendant environ 0,0001 secondes. Cela donne une énergie totale de 3,0x10^9 joules pour la
forte et respectivement 0,12x10^9
joules, 0.002x10^9 joules pour les autre. Autrement exprimé 833
kWh, 33 kWh et 0,6 kWh.
L'énergie contenu dans
une décharge forte est suffisant pour alimenter une
ampoule incandescence
de 40 watts pendant 2,5 ans, alors que pour la plus faible seulement 35 jours et 14 heures.
Une technologie capable
de récolte énergie
de la foudre doit rapidement pouvoir saisir des puissances très élevées. Plusieurs principes ont été proposés mais la grande variation en puissance rend le but difficile. Si trop élevé,
l’équipement peut être endommagé et si trop faible il ne fonction pas.
Des efforts ont néanmoins été faits. En 2007,
une société d'énergie alternative
appelée Alternate
Energy Holdings, a testé une méthode
pour capturer l'énergie dans des éclairs. La
conception du système avait été achetée auprès d'un inventeur Steve LeRoy, qui aurait
pu alimenter une ampoule
de 60 W pendant 20 minutes en
utilisant l'énergie captée à
partir d'un petit coup de foudre
artificielle. La méthode
consistait à une tour, un moyen
de dériver l’énergie excessive et un condensateur pour stocker le reste. Pourtant, un environnement réel avec des telles variations
est difficile à maitriser. Les tests dans n’ont pas bien réussi.
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