L’appétit
Est-ce que le rêve d’une bière froid quand il faut chaude est mieux que la bière elle-même ? Il est vrai que le rêve est moins intense mais en revanche il dure plus long temps. De comparer les incomparables est surement impossible mais de la recherche a au moins montré que les deux sont liés.
Au fond on peut penser sur la bière en deux manières différentes. Une est plus général s’est-à-dire de par exemple s’imaginer le verre. L’autre est plus précis et consiste à se figurer la sensation quand la bière sort et rafraichit la gorge et laisse un goût légèrement amer sur la langue.
Dans une étude les participants étaient divisés en groupes qui avaient comme tache de s’imaginer des actions répétitifs, telles que de mettre des pièces de monnaie dans une machine ou goûter un nombre variable de noix chocolaté. Les participants dans le groupe qui avait s’imaginé de manger des noix goûtaient finalement moins quand des vraies noix étaient servies. Et, le plus qu’ils avaient s’imaginé de mettre dans la bouche, jusqu’aux 30 morceaux, le moins ils magnaient.
Dans un autre groupe les participants devraient penser aux noix plus généralement. Lorsque ces sujets ensuite étaient invités à manger, ils consommaient tant que les groupes qui n’avaient pas de tout pensé à manger.
Que les fantasmes de manger réduit l’appétit est donc une réalité. Les chercheurs expliquent le phénomène par d'accoutumance. Il est toujours la première bouchée et la première gorgée qui sont le plus agréable. Puis, nos sens s'habituent et le repas devient graduellement de la routine.
Ainsi, ceux qui vraiment veulent profiter d'un repas font peut-être mieux de n’en pas trop penser. En revanche, ceux qui veulent maigrir font mieux de le faire.
La combinaison est incompatible ! Dans le paradis les incompatibilités n’existent plus !
Au fond on peut penser sur la bière en deux manières différentes. Une est plus général s’est-à-dire de par exemple s’imaginer le verre. L’autre est plus précis et consiste à se figurer la sensation quand la bière sort et rafraichit la gorge et laisse un goût légèrement amer sur la langue.
Dans une étude les participants étaient divisés en groupes qui avaient comme tache de s’imaginer des actions répétitifs, telles que de mettre des pièces de monnaie dans une machine ou goûter un nombre variable de noix chocolaté. Les participants dans le groupe qui avait s’imaginé de manger des noix goûtaient finalement moins quand des vraies noix étaient servies. Et, le plus qu’ils avaient s’imaginé de mettre dans la bouche, jusqu’aux 30 morceaux, le moins ils magnaient.
Dans un autre groupe les participants devraient penser aux noix plus généralement. Lorsque ces sujets ensuite étaient invités à manger, ils consommaient tant que les groupes qui n’avaient pas de tout pensé à manger.
Que les fantasmes de manger réduit l’appétit est donc une réalité. Les chercheurs expliquent le phénomène par d'accoutumance. Il est toujours la première bouchée et la première gorgée qui sont le plus agréable. Puis, nos sens s'habituent et le repas devient graduellement de la routine.
Ainsi, ceux qui vraiment veulent profiter d'un repas font peut-être mieux de n’en pas trop penser. En revanche, ceux qui veulent maigrir font mieux de le faire.
La combinaison est incompatible ! Dans le paradis les incompatibilités n’existent plus !
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