L’icônic
L’icônic est une
langue que nous connaissons presque tous. Bien qu’elle ne soit pas
enseignée elle a ces dernières années considérablement gagné du
terrain, même si elle ne permet pas d’exprimer quoi que
ce soit. Cependant, les applications sont en fort développement.
Lorsque j'allume mon
téléphone portable, je suis confronté avec une myriade
de d’icônes : lettres, réveille, clés, livres et tant
d'autres symboles. Un triangle rouge avec un point
d’exclamation signifie par exemple une opération critique. Personne m'a appris
la signifiance ces panneaux, mais je
les manipule aussi facilement et naturellement que les autres icônes sur d'autres appareils dans mon environnent.
Sur l'écran de mon ordinateur, il y a encore plus de la même nature : loupe, ciseaux, disquette, pinceaux, feuille de papier avec oreilles de chien et cetera. Il y a 30 ans, je ne savais pas la sens d’un seul de ces icônes et je ne me souviens pas comment avoir les apprises.
Sur l'écran de mon ordinateur, il y a encore plus de la même nature : loupe, ciseaux, disquette, pinceaux, feuille de papier avec oreilles de chien et cetera. Il y a 30 ans, je ne savais pas la sens d’un seul de ces icônes et je ne me souviens pas comment avoir les apprises.
Dans les aéroports il y a d’autres icônes montrant fauteuils roulants, sacs, avions, voitures, tasses à café et hommes et femmes, (coq et poule en dialecte), sont représentées sur certaines portes. Bien évidemment ils m’indiquent la bonne direction.
Pourtant, elles ne sont pas une nouveauté. Les panneaux de signalisation au bord de la route sont un peu prés 200 et je les ai une fois tous appris.
Sans que nous en rendions
compte nous somme en train de développer une langue commune. Sauf Martiens, presque
tout le monde comprend l’icônic.
Ils sont par tout. Les étiquettes de lavage avertissent la
centrifugation recommandée, la température de lavage,
le nettoyage à sec et cetera. Sur la table basse du salon la
télécommande et miracles électroniques similaires ont des icônes pour avance rapide, rembobinage,
pause, réglages du volume chaînes
et bien plus encore.
La voiture a des icônes plus ou moins compréhensible pour lave-glace, klaxon, avertissement pour le niveau d’huile, indicateur de direction, feux de route et les positions de vitesses sur le levier.
Les cartes de météos grouillent de soleils, nuages, fronts de pression et flocons. Les boutiques ont des icônes pour de recyclage, faible teneur en gras, respect de l'environnement, prix bas et bien beaucoup plus.
La cuisinière, la micro-onde et la machine à café parlent tous icônic. Sans obliger toutes les marques, McDonald, Coca Cola et la Poste.
La voiture a des icônes plus ou moins compréhensible pour lave-glace, klaxon, avertissement pour le niveau d’huile, indicateur de direction, feux de route et les positions de vitesses sur le levier.
Les cartes de météos grouillent de soleils, nuages, fronts de pression et flocons. Les boutiques ont des icônes pour de recyclage, faible teneur en gras, respect de l'environnement, prix bas et bien beaucoup plus.
La cuisinière, la micro-onde et la machine à café parlent tous icônic. Sans obliger toutes les marques, McDonald, Coca Cola et la Poste.
Nul vivant ne sait combien d'icônes une personne ordinaire connait. Elles sont surement des centaines et probablement plus de mille. Peut-être savons-nous tant
qu’un Chinois qui quitte l'école, c’est-à-dire environ 2 mille icônes.
Les icônes ne sont
pas des nouveautés. Ils existent
depuis plus longtemps que la langue
écrite. Une main sur les parois d’une grotte historique signale
par exemple une présence et les marques sur les oreilles des rennes servaient,
et servent même aujourd’hui, à identifier le propriétaire. Les icônes ont vécu
des siècles. Mais, c'est pendant des années 1900 que le boom est arrivé et elles remplient maintenant tous genre de lieux publics.
Des avalanches d'icônes sont venues avec des grandes marques internationales, comme les deux angles
du Citroën, les trois cailloux de
Mitsubishi et les quatre anneaux
d'Audi. Et, dans les épiceries nous pouvons maintenant facilement trouver
nos marques préférées de
nourriture, shampoing, congelés et
bières, grâce aux icônes.
La fin des années
1900 nous a donné plein de gadgets
électroniques qui pour leurs fonctionnements tous nécessitent
des icônes. Le résultat a été un développement ultra-rapide du domaine. Il ne montre aucun signe de s’affaiblir.
La chose étrange est que
personne ne semble savoir combien elles sont. Il y a des
listes ici et là mais ne rein qui peut ressembler à un dictionnaire.
Les icônes sont devenues une partie
naturelle de la vie moderne et personne ne se plaint
de cette langue. Elle n’est même pas considérée comme une
langue étrangère ou un sujet pour FN. Lorsqu’une nouvelle icône arrive nous l’apprenons,
c’est tout.
Les pharisiens, les scribes compris, grognent naturellement et font valoir que l’icônic n’est pas une vraie
langue. Le sujet est évidemment discutable.
La première exigence d'une langue écrite
est que les icônes doivent être générales
et ne pas temporaires. Le plus suivant elles le sont. L’icône
pour « en attente » est dans presque tous nous appareils. Le petit triangle, un
flèche sans queue, pour jouer est le même sur dvd, mp3, enregistreurs vidéo et tout qui
peut jouer. Pareille pour les icônes de pause et d’avancer
rapidement. Une croix rouge signifie une interdiction, n’importe que s’il s'agisse d'une cigarette, un chien ou un téléphone portable. L’icônic a pris le pas
de représentations simplifiées à significations.
Une autre exigence d'une
langue écrite est que tous les utilisateurs sont d’accord sur les
significations. Elle est aussi vraie. Un verre sur un paquet signifie «fragile » et ne pas « tchin tuchin ». Les ciseaux sur l'ordinateur signifie « couper
», pas « méfiez-vous des objets pointus ».
Une locomotive sur un panneau signifie, «
intersection de chemin de ferre » et ne pas « magasin
de jouets ».
Un certain degré de normalisation
est aussi une exigence. Cela implique des règles d’orthographe. L’icône
pour une chaise roulant ne peu pas être écrit dans n’importe
quelle manière. Une photo sur un
fauteuil roulant serrait une faute évidente. La bonne orthographe est un fauteuil
stylisé. Le signe d'urgence ne
peut pas être de couleur jaune ou
rouge. Il doit être vert, dans toutes les espaces et dans tous les pays.
Par d’ailleurs, l’orthographe de l’icônic
est tant illogique que d’autres langues écrites. Dans la
circulation tous les panneaux d’obligations ont par exemple un fond bleu
entouré d’un cercle rouge, sauf le panneau d'arrêt, le STOP, (en suédois
signifiant une chope), qui est octogonale, au fond rouge
entouré de traits blancs.
Peut-être que le mot l’icônic déjà est passé.
L’icône pour enregistrer un fiché est par exemple une disquette. Il y a long
temps que nous nous servirons de disquettes et la jeune génération ne sait pas
que s’est. Donc, un symbole au lieu d’une représentation.
On pourrait aussi plaindre l’icônic pour
avoir grammaire faible. La langue s’exprime sur
tout avec noms et verbes et ces dernière
sont majoritairement dans la forme impératif : « enregistrez, jouez,
copiez, ajoutez l’huile » ! Ou pire : « ne vous arrêtez pas, tournez
à gauche, ne faites rien » ! Mais, la langue icônic se
développe et cette critique deviendra plus à plus difficile
de maintenir.
Restaurants, films, livres et tant
d’autres choses obtient des étoiles. Ils sont des expressions
de qualité. En cours des dix dernières années, nous avons aussi été inondés de
émoticônes, (français pour smylies), qui
rend l’icônic un peut plus humaine.
Surtout, l’icônic ne menace rien, car elle
trouve ces pistes sur des terrains vierges. L’avenir me semble prometteur !
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