Sans masque
Avec masques
Les diagramme montrent le nombre de cas constaté qui dépend des nombres
de tests. Dans les 2 cas le première vague a eu lieu en avril. Les dernières
parités des diagrammes reflet mieux la situation
Je suis
immigrant et mon ancien pays est la Suède. Beaucoup de français ont la tendance
d’idéaliser ce pays et quand je raconte certaines de mes expériences ils
s’étonnent. La Suède n’est pas le paradis sur la terre et beaucoup de chose
fonctionnent mieux en France mais le contraire est aussi vrai.de tests. Dans les 2 cas le première vague a eu lieu en avril. Les dernières
parités des diagrammes reflet mieux la situation
Une amie, il y a quelques
jours, m’a envoyé l’article Comment
le masque réduit la gravité de la maladie. Il est écrit par un professeur de médecine et les
observations décrites sont certainement corrects. Pourtant j’ai des raisons à
douter la conclusion que les masques sont un moyen à efficacement réduire les
infections de COVID-19.
Parce que le sujet et si
important j’ai décidé de exposer mes doutes ici au lieu de répondre par mail.
A XXXX
Comme la grande majorité
des français tu n’es pas sur la bonne piste sur l’utilité de masques. Mon
argument est simple. En Suède, où les masques ne sont pas conseillés, il n’y a
pas eu un deuxième vague et cela ne s’explique pas par un pays moins peuplé ou parce
qu’il a été moins frappé.
Faits 1:
La Suède a été plus
durement frappée par le virus que la France parce qu’il n’y a pas eu un confinement,
(en temps de paix interdite dans la constitution). Par conséquence, il y a eu proportionnellement
plus de meurs, environ 15%
Fait 2 :
Il est vrai que la Suède
est peu peuplée mais c’est à cause du grand nord. Les grandes villes sont
comparables avec celle d’autre pays en Europe. Par exemple :
Stockholm 5 100 pers/km2
Marseille 3 500 pers/km2
Stockholm 5 100 pers/km2
Marseille 3 500 pers/km2
Il est vrai que les
masques ont un certain niveau de protection quand examines dans des
laboratoires. Il y a aussi des d’observations qu’ils peuvent bien fonctionner
quand appliqué à grand échelle dans un lieu. Le problème avec ces observations
est qu’il y a d’autres paramètres aussi importants qui ne sont pas inclus dans
les analyses, tels la volonté à tenir de la distance et à rester chez soi en
cas de moindre symptôme.
Si l’obligation
à porter des masques par les gens est comprise comme un signal d’alarme que la
situation est grave et les gens deviennent plus prudents, l’effet est positif.
Si le port de
masque, dans n’importe manière, grignote sur d’autres important gestes de
barrières, par exemple à tenir de la distance, l’effet est négatif.
Il y a quelques semaines
que j’ai lu dans un journal « mettez
un masque et tenez la distance ».Le journaliste avait renversé l’importance
des choses. Si la distance est respectée les masques ont naturellement un effet
positif. Cependant, à mettre les mesures dans cet ordre est une erreur. Il
n’est pas surprenant car dans la cacophonie des autorités le message la plus
important, à tenir de la distance, a quasiment disparu des recommandations et
dans les médias on ne parle que de masques, où, quand, par qui et cetera.
Pendant tout été il y a en
Suède eu beaucoup d’articles argumentant pour masques dans la sphère publique,
il y a même eu une pétition signé par des universitaires avec la même
revendication. Le centre d’épidémiologie, qui
décide sur toutes les mesures de contraire la propagation du virus, (ils sont nombreux),
ont toujours répondu que les masques fonctionnent bien dans des laboratoires
mais qu’il n’existe pas des preuves scientifiques qu’ils fonctionnent pour
atténuer une épidémie très rependue dans un société. L’argument principal est qu’ils
risquent à contrarier d’autres mesures.
Suivant les très
inquiétants développements en France et l’Espagne, l’argumentation pour masques
a maintenant disparue des journaux suédois.
Amicalement
Ake
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