Des grandes essaimes de criquets volent dans l’air avec le but à trouver des cultures à attaquer,
mais les individués ne collisionnent jamais.
Un équipe de chercheurs de Penn State University, États-Unis,
est maintenant en train de les imiter avec le but de crée un détecteur à faible puissance capable
à éviter collisions entre robots, drones et voitures autonomes.
Les criquets sont
inhabituels car ils n’utilisent qu’un seul neurone spécialisé, appelé Lobula Giant Movement Detector, pour
éviter des collisions. Ce neurone est très spécialisé pour détecter 2 mouvements.
Lorsqu'une image d'un criquet qui s’approche tombe sur l'œil d’un autre criquet
le plus que l’envahisseur se rapproche le plus l'image se grandisse et le plus le
signal nerveux sortant devient fort. L'autre stimulus est le changement de la
vitesse angulaire du criquet envahisseur.
Ce système anti-collision n’est
basé que sur ces 2 stimulées et le système nerveux des criquets est capable à
déterminer le risque d’une collision. Dans ce cas la réaction et à changer
direction et envahir un criquet à son coté, qui à son tour réagisse de la même façon.
Le résultat est parfois un genre de vague qui longe toute l’essaime. Le même
phénomène est particulièrement facile à observer dans des bancs de poisson.
Les chercheurs ont
développé un détecteur de collision compact à l'échelle nanométrique en utilisant
du sulfure de molybdène monocouche comme photo-détecteur. Il est placé sur un mini
processeur capable à imiter la réponse neuronale des criquets tout en utilisant
une toute petite quantité d’énergie.
Dans Nature Electronics les chercheurs expriment que cette recherche « est
un pas en avant vers le développement de systèmes intelligents, peu coûteux,
spécifiques à une tâche, miniaturisés et économes en énergie ».
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