Un atterrisseur lunaire
produit des gaz d'échappement qui se propagent sur la surface de toute la lune.
Le fait peut compliquer l'étude de la glace naturelle dans les cratères sur les
pôles de la lune.
Lorsqu'un vaisseau spatial
atterrit sur la lune, le carburant dans des fusées de freinage brule et forme
l'eau et autres substances volatiles. La lune n'a qu’une infime atmosphère et la
distance libre entre les peu molécules de gaz qui existent est de l’ordre centaines
de mètres, ce que signifie que la contribution des gaz d'échappement n’est pas
négligeable.
Un groupe de recherche
américain a simulé ce qui arrive à l'eau dans les gaz d'échappement d'un petit
atterrisseur lunaire qui se pose près de l'un des pôles de la lune. Le résultat
est que la plupart des plus des 40 kg d'eau rejetés après quelques semaines se décompose
en hydrogène et oxygène. Mais plus qu’environ 10% de cette eau devient emprisonnée
dans des cratères ombragés par leurs bordes où elle forme de la glace. La
plupart termine au pôle le plus proche, mais une plus petite partie se dispose
aussi sur le pôle opposé.
Dans les années à venir les
plans ambitieux actuels d'exploration lunaire entraîneront des nombreux atterrissages.
Les chercheurs pensent que la contribution des atterrisseurs doit être considérée
par ceux qui veulent enquêter sur la composition et l'origine de l'eau
naturelle sur la lune.
Source : AGU
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.