Je vive
en France depuis 20 ans et mon pays d’origine, la Suède, semble être un peu
plus lointain pour chaque année passant. Actuellement je ne suive ce qui se
passe là-bas qu’avec un œil. Cependant, la crise épidémiologique a réveillé mon
intérêt parce que la gestion de la crise est très diffèrent de celle de la
France. Il n’y a pas eu un confinement mais beaucoup d’autres mesures pour
combattre la maladie, par exemple du télétravail et une interdiction de grands rassemblements.
Pourtant, le plus étonnant pour les français est probablement que les masques
ne sont pas recommandés mais non plus déconseillé.
Dans ce stade de
l’épidémie on ne peut pas dire que cette stratégie a été supérieure de celles
d’autres pays. Beaucoup dû à une infiltration dans les maisons de retraites, le
taux de décédés est actuellement 20% plus élevé qu’en France.
L’argument pour ne pas
recommander des masques est que les preuves scientifiques pour leur efficacité
sont très faibles, tandis que les preuves scientifiques pour tenir de la
distance sont en acier.
Il est vrai que les
masques ont un effet protecteur dans des tests en laboratoires. Ils n’évitent pas
de virus à s’infiltrer par particules d’aérosols mais ils arrêtent des gouttelettes.
Cependant, ils ne font rien pour éviter que le virus à s’infiltrer par les
yeux. L’argument principal pour les masques est néanmoins qu’ils protègent les
autres. Quand quelqu’un qui est malade tousse, les masques réduisent la
zone dangereuse considérablement.
Pourtant, les expériences
dans des laboratoires ne considèrent pas tous les effets dans la vie courant. Par
exemple, quand une personne qui a eu sa masque contaminé l’enlève, la plie et la
met dans sa poche, elle va probablement contaminer ces mains. Sans
immédiatement les laver le risque d’une infection est évidant. D’autres effets
sont psychologiques. De rendre le port de masques obligatoire peut souligner la
gravité de la situation mais aussi donner un faux sentiment de sécurité.
Même dans la presse française
sérieuse on peut lire des formulations telles que « Mettez un masque et tenez la distance ». Premièrement, les effets
de ces deux mesures ne sont pas comparables et ne doit pas être présenter comme
telles. Deuxièmement, l’auteur de cette phrase a mis le port de masque avants
la tenue de distance, ce qui montre qu’il a mal compris le sujet.
Malheureusement, il n’est pas le seul, dans les media les masques sont
mentionnés au moins 10 fois plus souvent que la distance. En réalité la
proportion devrait être le contraire.
Comment, en France,
sommes-nous arrivé à une telle aberration ? Je n’ai que des spéculations.
La première est la cacophonie. Peut-être que divers politiciens est décideurs
veulent montrer qu’ils sont digne à leurs positions et imposent des masques et
ne pas la distance parce qu’ils ont les mêmes croyances que le reste de la
population.
La deuxième spéculation,
peu flattant pour la France, est qu’ici nous sommes souvent traités comme des moutons
guidés par des bergers qui ont le CRS au lieu de chiens. C’est très diffèrent
de la Suède où les gens se considèrent comme participants. Un des rasons est qu’ils
sont bien informé sur la maladie. Il y a 2 présentations vidéo par semaine, où
tous les chiffres d’importance sont commentés et où des membres de media sont
invités à poser des questions. Le sujet des masques apparaissent dans presque
toutes ces occasions.
Mes amies ici font souvent
valoir que les suédois soient plus disciplinés que le français. Au fond je ne
le pense pas. Je pense qu’ils ont plus le sentiment d’être participants que d’être
moutons. Cela se développe naturellement plus facilement dans un petit pays que
dans un grand mais ne pas sans efforts. Pour éviter de la cacophonie une
condition est que des vrais spécialistes du sujet présentent des informations correctes
et des motivations pour les décisions prises.
« Pour les zones de
transmission généralisée, avec une capacité limitée de mettre en œuvre des
mesures de contrôle et en particulier dans les endroits où une distance
physique d'au moins 1 mètre n'est pas possible - comme dans les transports
publics, dans les magasins ou dans d'autres environnements confinés ou
surpeuplés - l'OMS conseille aux gouvernements d'encourager le grand public à
utiliser des masques en tissu non médicaux ».
Les épidémiologies de
l’Autorité Pour la Santé Publique suédois, qui gèrent la crise, (le
gouvernement dit toujours oui aux mesures proposés et les politiciens locaux
les accomplissent), ont un autre point de vue et font valoir que des masques
seront recommandés dès qu’il y a de preuves scientifique pour leurs
efficacités.
Actuellement la statistique
montre une forte progression de l’épidémie dans des pays qui utilisent des
masques, par exemple la France et l’Espagne. En Suède, avec moins de
progression, les gens continuent à pratiquent que de la distance physique. Dans
l’avenir nous saurons si cette différence est important ou non.
De le contrer le COVID 19 n’est
pas un sprint mais un marathon. Il sera avec nous pendant plusieurs mois à
venir. Il faut donc une stratégie qui à long terme peut le contenir se maladie
sur un niveau acceptable.
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