Des
nombreuses régions ont connu une propagation important du coronavirus et 15 à
20% de la population restrictions ont développé des anticorps et cela de la
manière totalement indépendant des mesures barrières implémentés. Est-ce la
limite où le coronavirus ne plus se répandre ?
L'état de New York, le
nord de l'Italie, le bateau de croisière Diamond Princess, la ville allemande
de Gangelt et Stockholm. Tous ces sites ont été gravement touchés par le
coronavirus. Depuis lors, le nombre de décès dus au virus a fortement baissé,
bien qu'à des moments différents. Cependant, malgré le fait que les mesures de
barrières aient été si différentes, le taux de ceux qui ont développé des
anticorps dans ces endroits est étrangement similaire, de 15 à 20%.
Dans les premières
informations sur la maladie en Chine le taux de reproduction de coronavirus
vierge, le R0, était donné à 3,2. C’est à dire qu’un malade en moyenne infect
3,2 personnes. En Europe où les gens vivent d’une façon moins dense, le R0
vierge a été est estimé à 2,5.
Donné ce chiffre et pour
que la maladie ne se repend plus, il faut que 1,5 personne qui reçoivent le
virus d’un malade soient immunes, ce qui donne 1,5/2,5= 0,6, ou 60% immunité
dans la population pour stopper la maladie.
Pourtant, la réalité est
beaucoup plus compliquée. Un des raisons est que les premières personnes
infecté sont ceux qui ont été le plus exposé. Dans ce groupe il y a par exemple
les employés de hôpitaux, les chauffeurs de taxi, les socialement actifs et les
imprudents. Parmi ceux qui n’ont pas été infectés ces groups sont évidemment
sous-représentés. Un de conséquences est que un taux d’immunité, par exemple
20%, dans des calculs vaut plus que le chiffre. C’est un des raisons
pourquoi les pronostics sur le développement de la maladie sont si difficiles.
Elles ne sont bien que pour quelques jours à venir, un peu comme la météo.
Peut-être que cette fait
aussi est la raison pourquoi un taux d’immunité critique pour l’immunité collectif
de 40%, correspondant à un R0=1,7, est apparu, au lieu de 60%.
La situation se complique
encore par le découvert que des personnes peuvent avoir une immunité basé sur cellules-T. En examinant des familles de personnes hospitalisé
pour COVID-19 des chercheurs ont trouvé que beaucoup avait développé cette type
d’immunité et ne pas d’anticorps. Le
taux est encore incertain mais
il n’est pas négligeable, il pourrait être si haut que 100% de ceux qui ont développés
des anticorps mais les estimas les plus fréquents sont plutôt sur le niveau
10%-50%.
Un calcule optimiste
serait qu’un taux d’immunité mesuré par anticorps de 20%, en réalité, quand les
cellules-T sont compris, est de 40%, assez pour créer une immunité collectif.
Pourtant, Il existe un
rapport de Bergame, dans le nord de l'Italie, qui se démarque et montre
qu'environ 50% des habitants ont des anticorps. Ce qui contredit ce calcul
optimiste.
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