Dans la recherche
génétique il a été constaté que la population en Europe ont un héritage génétique
des Néandertaliens qui est d’ordre 1,5 à 4%. Parce que ces gènes n’existent pas
dans la population Africain, la possibilité qu’ils soient une trace des
ancêtres communes est exclue. Par conséquence il y a forcément eu des
rencontres entre humains et Néandertaliens. Elles ont probablement eu lieu dans
le moyen orient il y a 54 000 ans et donné naissances à métisses fertiles.
Ce taux d’héritage a
longtemps été une énigme pour les chercheurs. Mathématiquement chacun de nos
parents contribuent à 50% de notre héritage génétique et chacun de nos
grands-parents à 25%. En 6 générations,
environ 150 ans, la contribution est si basse que 1.5%.
Comment expliquer
l’héritage de 1,5 à 4% des néandertaliennes en vue que les rencontres datent de
plus de 2 000 générations? La seul possibilité est qu’elles dans quelque
maniéré nous a donné un avantage évolutionnaire.
Une étude a maintenant avéré
que près de 1 femme sur 3 en Europe ont un certain type de récepteur pour l'hormone
progestérone, qu’avait aussi les Néandertaliens. Il joue un rôle important à la
fois dans le cycle menstruel et pendant la grossesse.
L'étude montre que les
porteuses de la variante Néandertalien ont moins de saignements au début de la
grossesse, souffrent moins de fausses couches et donnent naissance à plus
d'enfants. .
Peut-être existe-t-il
d’autre avantage avec notre métissage avec les Néandertaliens ? Cependant,
parce que le taux de héritage génétique est bas il est évidant que d’autres différences
n’avait pas des avantages évolutionnaires.
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