Dans un controversé avec
présidant Trump les États fédéraux exigeaient le droit à fixer des réglé plus
strict sur les émissions de voitures que l’état central. Dans cette controverse
General Motors a pris le parti du président. Une enquête affirme maintenant que
ce pris de position de GM a ruiné sa réputation chez les clients.
Depuis 2010, les
États-Unis ont un programme conjoint sur la consommation de carburant et des
émissions de véhicules. Cependant, en 2019, 23 États, dont la Californie, exigeaient
le droit d'imposer des règles d'émissions plus strictes et certains fabricants
en étaient d’accord.
Pourtant, dans la bataille
entre Donald Trump et les États rebelles, les constructeurs dans un groupe,
appelle la Coalition for Sustainable
Automotive Regulation, choisissaient à soutenir le président et sa ligne de
règlementation nationale. Ce groupe incluait entre autres GM et Toyota. Un groupe
de consommateurs, L'Union of Concerned Scientists, a maintenant fait une enquête qui montre
que GM durement a dû payer pour sa prise de position.
Un millier de personnes
conduisant une Chevrolet, une Buick, une Cadillac ou une GMC ont répondu sur
leur opinion de GM en vue de son support pour la position de Trump. Selon le
résultat, l'entreprise a grossissement perdu sa bonne réputation, quelle que soit
l'appartenance politique du client. 51% des clients qui initialement avaient déclaré
qu'ils définitivement achèteraient un autre véhicule GM dans l'avenir, ont
changé d'avis après avoir été informé sur la prise de position de GM en matière
d'émissions.
82% des républicains et 93%
des démocrates estiment que GM devrait soutenir une réglementation plus stricte.
Selon l’enquête, la réputation de GM est passée de 93% à 44% et le nombre de
propriétaires de GM qui souhaiteraient tester un autre constructeur la
prochaine fois passait de 30% au début de l'enquête à 67% après que les
participants ont été informés sur la position de GM.
76% ont déclaré que leur opinion
sur GM s’améliorait si elle changerait sa position sur le droit à des exigences
d'émissions plus strictes au niveau des États fédérales. Selon un autre sondage,
Toyota a perdu près d'un tiers de sa réputation à cause de son opposition contra
des exigences d'émissions plus strictes.
Sourece : Electrek
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