J’en ai marre
et je ne suis pas le seul. Le confort est que cet état d’âme est normal pour
quelqu’un dans la phase émotionnelle numéro 5, appelé résistance. Avant le bout
du tunnel et selon un article dans le journal
El Paîs, il m’en reste encore 2
convolutions mentales à passer.
1.
Incrédulité. Dans
cette première phase il y a des confusions et des peurs provoquées par une
grande quantité d'informations imprécises. La propagation de
rumeurs de véracité douteuse en fait partie.
2.
Préparation.
Nos plans sont déjà en train de changer. Il devient évident qu’il faut chercher
des provisions et nous sommes confronté de pénuries et manques de certains
produits.
3.
Ajustement.
Nous commençons à nous adapter aux nouvelles restrictions qui au fur et à
mesure génèrent des nouvelles situations qu’il faut confronter. Des nouvelles
routines quotidiennes sont établies.
4.
Acclimatation.
Des nouvelles routines s'imposent parce qu’il faut faire face à des défis
quotidiens comme ennuis, paresses et difficultés dans la coexistence familiale.
Cependant, des aspects positifs de la nouvelle situation commencent aussi
d’apparaitre par exemple des nouvelles activités et intérêts qui peuvent
remplir le temps vide.
5.
Résistance. Confrontées
aux restrictions de mouvements et limitations de la vie sociale depuis quelques
semaines, la tension augmente Elle impact directement l'humeur et les relations
personnelles. Cette phase est aggravée par l'incertitude sur la durée du
confinement.
6.
Soulagement. Alors
que la fin de la situation se profile nous commençons d’avoir un meilleur
esprit. Nous sommes heureux de bientôt pouvoir reprendre nos vies normales.
7.
Peur. Lorsque
les conséquences économiques deviennent plus évidents, des nouvelles
préoccupations concernant les sécurités d’emplois et financières émergent.
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