Le climat extrême du futur est une menace pour l’alimentation électrique

Il y a un problème avec le système énergétique de la future. Selon les plans de beaucoup de pays il sera en grand partie composé d’éoliennes. Un groupe de chercheurs internationaux constate maintenant que ces plan sont basés sur le climat tel qu’il est aujourd’hui et ne pas dans l’avenir.

Le climat et en train de changer et les prévisions montrent plus d’étés chaudes, hivers froids et moins de vents. Compte tenu de la façon dont les systèmes électriques se développent aujourd'hui, une grande partie d'eux sont planifiés pour le climat actuel et où l'énergie solaire et éolienne seront des piliers de la production.

Dans l'étude publiée dans Nature Energy, les chercheurs concluent qu'il est très probable que nous aurons un déficit d’énergie électrique à l'avenir, quand les conditions météorologiques deviendront plus extrêmes.

La conclusion est que nous avons besoin de nous protéger contre les conditions météorologiques extrêmes futures. Il n’est pas fait aujourd'hui et la méthode de calcul dans le rapport est une première étape pour découvrir les vulnérabilités de demain.

Selon les chercheurs, il existe des solutions imminentes au problème et il est important de commencer à planifier dès maintenant. Le rapport prend soin de souligner qu'il est important que nous passions aux énergies renouvelables.

Le stockage d'énergie à grand échelle fait partie des recommandations mais la réalisation sera différent d'un pays à l'autre. En général, les solutions résident dans l'augmentation de l’endurance et la flexibilité grâce au stockage d'énergie. Nous devons aussi pouvoir basculer entre sources d'énergie renouvelables et comprendre l'évolution des besoins en électricité.

Les chercheurs ont calculé 13 scénarios climatiques différents dans 30 villes suédoises pour les années 2010-2099.

Pour le Suède qui est riche en énergie hydrologue la solution est relativement simple. Il suffit de conserver l’eau dans les réservoirs quand les autres sources vertes produisent beaucoup. Dans d’autres pays il faut développer des solutions qui actuellement n’existent pas.