La mer du Nord est depuis
longtemps le théâtre d’extraction
d'énergie. Il y a entre autre 450 plateformes pétrolières. Cependant,
cette mer est aussi peuplée d'éoliennes et l’exploitation du vent qui souffle
sur les vagues continuera. Le dernier projet est un parc record d’éoliennes sur
Dogger Banks et la construction vient de commencer.
Le Dogger Bank est
un vaste surface dans la mer entre Angleterre et Hollande. Il est près de 300 km
de long et la profondeur n’est que 15 à 36 m.
Environ 400 des plus
grosses éoliennes actuellement commercialisées, de 9 MW, vont ensemble produire
3,6 GW quand le vent souffle bien. La puissance moyen sera environ 40% du
maximal, 1,5 GW, ce qui égale une grande installation nucléaire.
Ceux qui ont suivi le
développement savent que les eaux autour du Royaume-Uni ont un pion perlé de
parcs éoliens qui chacun, quand construit, dépassait les autre en puissance, ce
qui démontre la rapidité du développement de la technologique.
Les 140 éoliennes du parc
éolien offshore Greater Gabbard de 0,5 GW ont été mises en service en 2008. En
2013 ce record a été passé par le London Array avec 175 turbines et la
puissance totale de 0,63 MW, en 2018 suivi par Walney Extension dans la mer
d’Irlande de 0, 66 MW.
Ces records vont bientôt être
dépassés quand le parc éolien de Dogger Bank sera en fonction. Le parc, à 100
km est d’Angleterre, débutera à produire en 2023. Les éoliennes du parc seront
de type Haliade-X de General Electrique qui au bout de ces pales s’étend 260 m haut
dessus de la mer.
Cependant, les anglais ne
sont pas le seul d’avoir un plan pour Dogger Bank. Un consortium avec représentants
de 5 pays, dirigé par l’entreprise
Tennet de Pays-Bas, est en
train de planifier une île artificielle entourée de parcs éoliens.
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