Les pays nordiques mèneront une transition verte mais elle sera difficile

Le parc de véhicules suédois sera à 70% sans énergie

 fossile d'ici 2030. Des carburants écologiques, tels que

 le biogaz, seront nécessaires.

Le Conseil Nordique est l'organe officiel de coopération entre les parlements des États nordiques. Il a été formé en 1952 par Danemark, Islande, Norvège et Suède. La Finlande est entrée en 1955. A la forte demande des citoyens l'une des premières décisions prise a été la libre circulation de personnes, réalisé en 1954, faisant des pays nordiques un marché du travail commun.

L’Europe a beaucoup changé depuis mais le Conseil Nordique a toujours pris des petits pas pour plus de coopération et plus d’intégration dans toutes genres de domaines. Dernièrement sur la transition verte. Pour le moment il ne s’agit que expressions de volonté mais de la concrète va bientôt suivre.

« Nos pays ont le record du monde en transitions vertes », a déclaré le Premier ministre suédois Stefan Löfven lors de la dernière session du Conseil Nordique à Stockholm.

Son collègue norvégien, Erna Solberg, a dit que : « Un recul n'est plus possible et à laisser l’économie progresser comme avant n’est pas le chemin à prendre si on veut gérer le changement climatique ». Mais, elle a averti à penser que la transformation sera facile.

« Nous devons changer de une façon qui rend possible d'entrainer les citoyens. Ceux qui pensent qu'il ne s'agit que de la volonté d’une manière drastique réduire de les émissions CO2 ont tort. Il s'agit de grands changements pour les entreprises et la vie quotidienne des gens. » 

Elle a souligné que la dépendance de la voiture en Norvège est très répandue et que il s’agit de changer 2 millions de voitures conventuels d’une durée de vie moyenne de 18 ans dans un laps de temps relativement court, De plus, une grande partie de la richesse actuelle de la Norvège repose sur les sources de pétrole et le gaz.

La Premier ministre danoise, Mette Frederiksen, décrivait la situation dans la région nordique et le monde comme un choix de direction en matière de politique climatique. « Toutes actions manquants risque de créer un abandon des générations à venir. »

« Mon appel le plus fort ici est que nous devrions changer de manière nordique. »

Puis elle l’a décrit le changement comme questions de mesures, efforts structurels et collectifs en faveur du climat qu’il faut faire de la façon qui signifie une distribution équitable et sans que plus de créneaux ne s’ouvrent.