En école nous avons tous
appris ce qu’on appelle le cycle de carbone. En effet il
s’agit de 2 cycles, un rapide enseigné en biologie, et un lent possiblement
enseigné en géographie.
Dans le cycle rapide, qui
dure 1 à quelles 10ene d’années, tous qui sont de règne végétal,
algues inclus, absorbent CO2. Ensuite, le règne animal, bactéries inclus, se
nourrisse dessus et réémettre le CO2 dans l’atmosphère.
Par contre, le cycle lent mérite
vraiment son nom, parce qu’il est très lent, des millions d’années. Quand de la
matière organique mort tombe au fond de la mer elle peut, donné certains
conditions telle sédimentation de produits non organiques au-dessus, lentement
se transforme en charbon, pétrole ou gaz.
Des chercheurs ont
maintenant plus précisément pu dater le pétrole en Alberta, Canada. La
première phase de formation c’est passé il y a 112 millions d’années, pendant l’époque
Jurassique. Le CO2 qui se libère quand nous brulons ces produits ne se remmèneront
pas dans la profondeur de la terre demain, pour le faire il faut des millions
d’années.
Le CO2 émietté par des
sources fossiles va par conséquence rester dans le cycle rapide pendant une
période immensément plus long que notre existence comme race humain sur la
terre, quelque centaine milles années.
Pour absorber l’excès de
CO2 dans l’atmosphère il est proposé à planter des forêts. Il est vrai que les forêts
absorbent CO2. Mais, quand le bois est utilisé ou les arbres meurent le CO2
réapparaisse dans l’atmosphère.
Il y a donc peu d’espoir
que le taux croissant de CO2 dans l’atmosphère, 350 ppm en 1985 et plus de 400
ppm aujourd’hui, ne cesse à augmenter et commence à revenir vers le bas.
La situation est plus que
inquiétant.
Parce que beaucoup de
forêts ont été surexploité il est naturellement bien à planter des arbres mais l’impact
sur le climat et les taux de CO2 n’est que marginale.
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