Le lidar des voitures autonomes risque détruire des caméras !

Pour examiner l’environnement. des voitures autonomes, le lidar, (LIght Detection And Ranging), est un élément crucial  Cette technologie consiste  traditionnellement à un petit miroir rotant sur le toit d’une voiture qui éjectait des impulsions de laser. Puis, il y a un capteur qui à travers divers électronique créée une grille de l’environnement où chaque point mesuré contient des informations sur la distance et la vélocité d’un objet. Pourtant, il est impérative que ces impulsions soit sans danger pour l'entourage.

Ces systèmes étaient auparavant conçus conformément aux règles établies pour protéger les yeux des personnes. Cela signifie que les impulsions de laser, infrarouge de 900 nm, doivent être faible en puissance, ce qui limite la portée du système à environ 60-100 mètres. Dans la circulation sur les routes cette distance n'est pas suffisante pour un système autonome.

Un autre type de lidar qui fonctionne sur des ondes plus longues, qui sont moins dangereux pour les yeux, a maintenant été développé. Il porte la distance surveillé à plus de 200 m, ce qui est suffisante sur les routes. Cependant, un incident inquiétant est apparu. Lors du Consumer Electronics Show 2019, un photographe a affirmé que le laser d'un lidar avait détruit le CCD, (le capteur de la luminosité), dans son appareil de photo numérique.

Si la réclamation du photographe est correcte, signifie-t-il que le lidar risque d’endommager les caméras utilisées pour surveiller la circulation sur les routes ou par d’autres voitures autonomes ?

Le fait que le lidar soit actif au niveau des yeux est un problème lorsque les impulsions deviennent plus fortes. La plupart des systèmes utilisent un laser qui déclenche une série d'impulsions d’nano-secondes avec la longueur d’onde de 900 nm. Si ces impulsions sont suffisamment puissantes, ils peuvent endommager les yeux sur le niveau de la rétine. Cependant, si la longueur d'onde est de 1 500 nm, les impulsions sont absorbées par les yeux avant qu’elles n'arrivent à la rétine.

Un relâchement de la législation signifierait que l'industrie pourrait utiliser des impulsions 100 fois plus fortes avec une longueur d’ondes de 1 500 nm. Elles ont une portée de 300 m et une capacité d’enregistrer la posture d’un humain qui marche à la distance de 250 m.

On ne le sait pas encore, mais si la réclamation du photographe est correcte, ce type de lidar ne sera probablement pas permit.