Quand nous faisons un travail qui
demande de la concentration il est évidant que nous sommes perturbés par tout
autre chose qui attire notre attention. Parfois seulement parce que nous sommes
curieuses mais trop souvent parce que nous sommes génétiquement préprogrammés à
examiner ce qui se passe dans notre environnement.
C’est surtout des changements qui
nous intéressent soit ils sonores ou visuelles. La branche publicitaire n’a pas
tardé à exploiter cette faiblisse en introduisant des images qui bouges. Ce
genre de publicité a commencé sur internet mais maintenant elles sont aussi sur
les bords de rues dans des villes. Pour pouvoir se concentré dans ce monde il
faut se méfier et bâtir une défense contre ces « fausses amis », sur
internet par exemple en forme de bloqueurs de publicité.
Une forme de perturbateur, souvent présent dans des lieux
de travail, est des paroles dans le fond d’une pièce. Cependant, un bruit
générale n’est pas si mauvais, c'est quand les mots et les phrases en
arrière-plan deviennent clairement audibles que la difficulté à se concentrer
apparaisse. Et, maintenant il n’y a plus de doute car l’effet
a été scientifiquement constaté.
Mais, tous types de discussions en arrière-plan n’ont
pas le même effet. Le plus perturbant est quand peu de personnes parlent et il
est possible à apercevoir des mots et des phrases. Si beaucoup de monde parle
et surtout en langues étrangères, il est plus facile à se concentrer. La raison
en est que ces paroles forment un genre de nappe phonique.
Le fait distrayant apparaisse quand plusieurs processus cervicaux entrent en collision. C’est quand des mots et des phrases peuvent avoir un sens que le cerveau automatiquement commence à analyser ce qui a été dit. Donc, conversations en langues étrangères sont moins troublantes mais des mots compréhensibles, sur tout venant d’avant, sont très dérangeants.
Le fait distrayant apparaisse quand plusieurs processus cervicaux entrent en collision. C’est quand des mots et des phrases peuvent avoir un sens que le cerveau automatiquement commence à analyser ce qui a été dit. Donc, conversations en langues étrangères sont moins troublantes mais des mots compréhensibles, sur tout venant d’avant, sont très dérangeants.
L’auteur du rapport a aussi étudié l'effet de sons
utilisés pour masquer des conversations. Le type de bruit qui avait le plus
important effet était le babillage, c’est-à-dire un genre de bruit ou il est
impossible à distinguer les mots. Ce type de masquage était en effet si
efficace que du silence. Les sons des vagues sur une plage étaient aperçus
comme agréables par les participants - mais ne pas aussi efficaces que le
babillage !
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