La chasse pour des micro-sources d’énergie est intense. Le
but n’est pas d’améliorer le bilan de CO2 mais de produire suffisamment
d’énergie pour alimenter divers capteurs électroniques. Plusieurs sources potentielles
sont dans le collimateur, par exemple le changement de température entre jour
et nuit, capteur de radio ondes et rayonnements de la lumière.
Parmi des applications qui ont un intérêt instance sont de
la électronique portable, en anglais
appelés wearables. Dans ce cas les chercheurs essayent de
transformer les mouvements du corps aux courants électriques. Des chaussures
qui clignotent quand on marche sont déjà sur le marché.
Une technologie fiable pour convertir l'énergie de mouvement
en électricité est l’application de matériaux piézoélectriques. Quand sujets aux
changements de dimensions, étendus ou comprimé, ces matériaux génèrent un petit
courant électrique qui potentiellement peut alimenter des appareilles.
Des chercheurs de Chamlers, Göteborg, Suède, on
maintenant développé
un tissue capable à générer électricité. Les fibres piézoélectriques ont
été fabriquées par filage à l'état fondu. C’est une méthode bien adaptée à une production
en grand échelle. Des applications potentielles sont par exemple des sièges de
bus, des vêtements ou des meubles.
Qu’un tissu peut générer de l'électricité n’est pas une
nouveauté. La particularité de ce tissu est qu’il fonctionne aussi bien dans
des environnements secs qu’humides. Car, quand l'eau augmente la surface de
contact entre les fils, plus d’électricité est généré.
Le démonstrateur est un sac avec une sangle du tissue
piézoélectrique. Quand remplit de 3 kg de livres et en basculant haut en bas,
elle génère suffisamment d'électricité pour allumer une petite lampe.
Notre ingénieur livre encore ici un article particulièrement intéressant, bien ficelé, bien ciselé. On y est maintenant habitué mais on ne s'en lasse pas. Mais où trouve-il toute cette énergie pour nous régaler. Thèmes toujours variés mais toujours décortiqués à fond. FORMIDABLE
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