Des navires autonomes et auto-suffisants en énergie sont
apparus comme des nouveaux utiles pour explorer la mer. Trois de ces drones
marines vont bientôt partir d’Australie pour exploiter l'océan autour de
l’Arctique Sud.
L'Organisation australienne de recherche scientifique et industrielle du Commonwealth, (CSIRO), ont établi un partenariat avec la start-up Saildrone basée à San Francisco, qui l’a fourni avec son voilier autonome.
L'Organisation australienne de recherche scientifique et industrielle du Commonwealth, (CSIRO), ont établi un partenariat avec la start-up Saildrone basée à San Francisco, qui l’a fourni avec son voilier autonome.
Ces navires sont exclusivement propulsés par le vent et le
courant pour alimenter l'électronique embarquée est fourni par des panneaux
solaires. Ils sont conçus pour en permanence collecter et transmettre des
données et ils peuvent naviguer par eux-mêmes jusqu'à un an.
À bord ils sont équipés avec un système d'identification automatique et anticollision, ce que les permet à fonctionner de manière autonome sans provoquer d'accidents. En plus, ils ont un système de communication par satellite, qui rend possible pour un opérateur de les contrôler en distance.
Remplies de capteurs pour mesurer l’état d’air et de
l’eau, 3 de ces drones marins vont bientôt quitter le port Hobart en Tasmanie.
Une solution concurrente, le Wave Glider,
a été conçue par Liquid Robotics.
L'engin ressemble à une planche de surf et la source
d'énergie vient d’un corps sous-marin ailé suspendu avec un câble de 8 m sous
le drone.
Le principe pour capturer l’énergie des vagues
Cet arrangement est complété par des cellules solaires sur la surface.
Ensemble, ces 2 sources fournissent 5-20 W. La vitesse maximale est de 5,5 km/h
et le navire peut porter le poids de 500 kg.
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