De se laisser transporter par un moteur
sans vibrations n’est pas seulement agréable mais aussi profitable pour les propriétaires.
Les premiers taxis électriques ont
commencé à rouler en Stockholm en 2014. C’était des Tesla Model S 85, avec un prix
d’achats autour 100 000 euro. D’autre part, le « carburant »,
dans ce cas une charge d’électrons, est beaucoup moins chère que pour les
correspondants de moteurs thermiques. Donné qu’un taxi roule beaucoup, environ
250 km/jour, ces faits indique que les taxis électriques, malgré un plus haut prix
d’achats, pourraient faire aussi bien que les autres.
Une
nouvelle étude qui n’a pas encore été publié mais présenté dans une conférence,
montre aussi que c’est le cas. Les Teslas étaient comparés avec des Mercedes-Benz
E300 Hybride et des Mercedes-Benz E200 Biogaz. Les enquêteurs ont conclus que les
revenus par kilomètre parcourus ont été très similaires de 38, 38 et 40
centimes respectivement.
Pourtant, ce coude à coude économique s’est produit avec
des « subventions » pour les Teslas. Car, les impôts sur les carburants
sont d’environ 66% mais seulement 50% pour le courant électrique. De plus, il y
a eu une prime de 4 000 euro pour l’achat de voitures électriques et en
outre aussi des petits avantages tels que priorité dans la file d’attente à
l’aéroport. Un autre facteur qui dans cette enquête favorise les voitures
électriques est que les très chers échanges des batteries n’ont pas encore eu
lieu.
Actuellement il y a 13 Tesla Model S qui roulent comme
taxis en Stockholm. Cependant, cette voiture est maintenant fortement
concurrencée par Renault ZEO, qui coute moins que la moitié. 26 ZOEs ont déjà
été mis en service et 4 autres vont bientôt arriver. Donnés les chiffres dans l’enquête, il semble que ces taxis auront la possibilité de devenir économiques sans subventions.
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